Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
L’immensité de l’humanité, Le Temps passé vivace et bon père… Une entreprise à jamais prospère : Quelle puissante et calme cité ! Il semble ici qu’on vit dans l’his…
Vous n’avez rien compris à ma simp… Rien, ô ma pauvre enfant ! Et c’est avec un front éventé, dép… Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter…
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau
Avec les yeux d’une tête de mort Que la lune encore décharne, Tout mon passé, disons tout mon re… Ricane à travers ma lucarne. Avec la voix d’un vieillard très c…
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Don Juan qui fut grand Seigneur e… Est aux enfers ainsi qu’un pauvre… Pauvre, sans la barbe faite, et po… Et si n’étaient la lueur de ses ye… Et la beauté de sa maigre figure,
Pour sauver son époux, Çavitri fit… De se tenir trois jours entiers, t… Debout, sans remuer jambes, buste… Rigide, ainsi que dit Vyaça, comm… Ni, Curya, tes rais cruels, ni la…
La vie humble aux travaux ennuyeux… Est une œuvre de choix qui veut be… Rester gai quand le jour triste su… Être fort, et s’user en circonstan… N’entendre, n’écouter aux bruits d…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Un vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduit…
Nature, rien de toi ne m’émeut, ni… Nourriciers, ni l’écho vermeil des… Siciliennes, ni les pompes auroral… Ni la solennité dolente des coucha… Je ris de l’Art, je ris de l’Homm…
Fardée et peinte comme au temps de… Frêle parmi les noeuds énormes de… Elle passe sous les ramures assomb… Dans l’allée où verdit la mousse d… Avec mille façons et mille afféter…
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
Courtisane au sein dur, à l’oeil o… S’ouvrant avec lenteur comme celui… Ton grand torse reluit ainsi qu’un… Fleur grasse et riche, autour de t… Arôme, et la beauté sereine de ton…
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…