Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
La Vie est triomphante et l’Idéal… Et voilà que, criant sa joie au ve… Le cheval enivré du vainqueur broi… Nos frères, qui du moins tombèrent… Et nous que la déroute a fait surv…
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
Or, vous voici promus, petits amis… Depuis les temps de ma lettre prem… Promus, disais-je, aux fiers emplo… À votre thèse, en ces jours de lum… Vous voici rois de France ! À vot…
Il est grave : il est maire et pèr… Son faux col engloutit son oreille… Dans un rêve sans fin flottent ins… Et le printemps en fleur sur ses p… Que lui fait l’astre d’or, que lui…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
J’ai rêvé d’elle, et nous nous par… Non pas nos torts, il n’en est en… Mais l’absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris c… Simple elle était comme au temps d…
Vous voilà, vous voilà, pauvres bo… L’espoir qu’il faut, regret des gr… Douceur de cœur avec sévérité d’es… Et celle vigilance, et le calme pr… Et toutes !—Mais encor lentes, bi…
L’amour de la Patrie est le premi… Et le dernier amour après l’amour… C’est un feu qui s’allume alors qu… Où notre regard luit comme un céle… C’est le jour baptismal aux paupiè…
C’est le chien de Jean de Nivelle Qui mord sous l’œil même du guet Le chat de la mère Michel ; François-les-bas-bleus s’en égaie. La Lune à l’écrivain public
Ah ! les oaristys ! les premières… L’or des cheveux, l’azur des yeux,… Et puis, parmi l’odeur des corps j… La spontanéité craintive des cares… Sont-elles assez loin toutes ces a…
De plus, cette ignorance de Vous… Avoir des yeux et ne pas vous voir… Une âme et ne pas vous concevoir. Un esprit sans nouvelles de Vous… O temps, ô mœurs qu’il en soit ain…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
L’écartement des bras m’est cher,… Que l’écartement autre : Mer puissante et que belle et que… Quel appât est la vôtre ! Ô seins, mon grand orgueil, mon im…
Dans l’herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Pleure, on veut croire. Quoi donc se sent ?