"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
Fardée et peinte comme au temps de… Frêle parmi les noeuds énormes de… Elle passe sous les ramures assomb… Dans l’allée où verdit la mousse d… Avec mille façons et mille afféter…
Ni pardon ni répit, dit le monde, Plus de place au sénat du loisir ! On rend grâce et justice au désir Qui te prend d’une paix si profond… Et l’on eût fait trêve avec plaisi…
J’ai naguère habité le meilleur de… Dans le plus fin pays d’eau vive e… Quatre tours s’élevaient sur le fr… Et j’ai longtemps, longtemps habit… Le mur, étant de brique extérieure…
Cuisses grosses mais fuselées. Tendres et fermes par dessous, Dessus d’un dur qui serait doux, Musculeuses et potelées, Cuisses si bonnes tant baisées
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à
Léandre le sot, Pierrot qui d’un saut De puce Franchit le buisson, Cassandre sous son
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
A José Maria de Heredia Ce poète terrible et divinement do… Plus large que Corneille et plus… Grand comme Eschyle avec ce souff… Ce Calderon mystique et mythique…
(A Germain Nouveau) Dans une rue, au coeur d’une ville… Ce sera comme quand on a déjà vécu… Un instant à la fois très vague et… Ô ce soleil parmi la brume qui se…
—L’abbé divague.—Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. —Ce vieux vin de Chypre est exqui… Moins, Camargo, que votre nuque. —Ma flamme ...—Do, mi, sol, la, s…
De toutes les douleurs douces Je compose mes magies ! Paul, les paupières rougies, Erre seul aux Pamplemousses. La Folle-par-amour chante
Je voudrais, si ma vie était encor… Qu’une femme très calme habitât av… Plus jeune de DIX ans, qui portâ… La moitié d’une vie au fond plutôt… Notre cœur à tous deux dans ce châ…
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
La saison qui s’avance Nous baille la défense D’user des us d’été, Le frisson de l’automne Déjà nous pelotonne