Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Riche ventre qui n’a jamais porté, Seins opulents qui n’ont pas allai… Bras frais et gras, purs de tout s… Beau cou qui n’a plié que sous le… De lents baisers à tous les chers…
« Quand je cause avec toi paisible… Ce m’est vraiment charmant, tu cau… Quand je dispute et te fais des re… Tu disputes, c’est drôle, et me fa… S’il m’arrive, hélas ! d’un peu te…
Cuisses grosses mais fuselées. Tendres et fermes par dessous, Dessus d’un dur qui serait doux, Musculeuses et potelées, Cuisses si bonnes tant baisées
Ô Seigneur, exaucez et dictez ma p… Vous la pleine Sagesse et la tout… Vous sans cesse anxieux de mon heu… Et qui m’avez aimé de toute éterni… Car—ce bonheur terrible est tel, t…
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Petit Jésus qui souffrez déjà dan… Pour obéir au premier précepte de… Or, nous venons en ce jour saintem… Vous offrir les prémices aussi de… Pour obéir, nous autres, à votre o…
Vous vous êtes penché sur ma mélan… Non comme un indiscret, non comme… Et vous avez surpris la clef de ma… Tel un consolateur attentif et pie… Et vous avez ouvert doucement ma s…
Cette vallée est triste et grise :… Pèse sur elle ; L’horizon est ridé comme un front… Oiseau, gazelle, Prêtez-moi votre vol ; éclair, emp…
Le dernier coup de vêpres a sonné… Entrons donc dans l’Église et couv… Il y a peu de monde encore. Qu’il… C’est bon par ces temps lourds, ça… On allume les six grands cierges,…
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
J’ai naguère habité le meilleur de… Dans le plus fin pays d’eau vive e… Quatre tours s’élevaient sur le fr… Et j’ai longtemps, longtemps habit… Le mur, étant de brique extérieure…
Le ciel si pâle et les arbres si g… Semblent sourire à nos costumes cl… Qui vont flottant légers avec des… De nonchalance et des mouvements d… Et le vent doux ride l’humble bass…
Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire… Elle est discrète, elle est légère… Un frisson d’eau sur de la mousse… La voix vous fut connue (et chère…