Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Pour sauver son époux, Çavitri fit… De se tenir trois jours entiers, t… Debout, sans remuer jambes, buste… Rigide, ainsi que dit Vyaça, comm… Ni, Curya, tes rais cruels, ni la…
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins
Trois petits pâtés, ma chemise brû… Monsieur le Curé n’aime pas les o… Ma cousine est blonde, elle a nom… Que n’émigrons-nous vers les Pala… Ma cousine est blonde, elle a nom…
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
Mois de Jésus, mois rouge et or,… Juin, pendant quel le cœur en fleu… Se sont épanouis dans la splendeur… Parmi des chants et des parfums d’… Mois du Saint-Sacrement et mois d…
Ce ne sont pas des mains d’altesse… De beau prélat quelque peu saint, Pourtant une délicatesse Y laisse son galbe succinct. Ce ne sont pas des mains d’artiste…
Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes
Ô toi triomphante sur deux « Rivales » (pour dire en haut sty… Tu fus ironique,—elles... feues— Et n’employas d’effort subtil Que juste assez pour que tu fus—
Je suis né romantique et j’eusse é… En un frac très étroit aux boutons… Avec ma barbe en pointe et mes che… Hablant español, très loyal et trè… L’œil idoine à l’œillade et chargé…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Belle « à damner les saints », à t… Un vieux juge! Elle marche impéri… Elle parle—et ses dents font un mi… Italien, avec un léger accent russ… Ses yeux froids où l’émail sertit…
La bise se rue à travers Les buissons tout noirs et tout ve… Glaçant la neige éparpillée Dans la campagne ensoleillée. L’odeur est aigre près des bois,
Vous n’avez rien compris à ma simp… Rien, ô ma pauvre enfant ! Et c’est avec un front éventé, dép… Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter…
Le bruit de ton aiguille et celui… Sont le silence d’or dont on parla… Ah ! cessons de nous plaindre, ins… Et travaillons tranquillement au n… Quant à souffrir, quant à mourir,…