Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vag… Tandis qu’un très léger bruit d’ai… Un air bien vieux, bien faible et… Rôde discret, épeuré quasiment,
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Ce ne sont pas des mains d’altesse… De beau prélat quelque peu saint, Pourtant une délicatesse Y laisse son galbe succinct. Ce ne sont pas des mains d’artiste…
La cathédrale est majestueuse Que j’imagine en pleine campagne Sur quelque affluent de quelque M… Non loin de l’Océan qu’il regagne… L’Océan pas vu que je devine
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Mon jardin fut doux et léger Tant qu’il fut mon humble richesse… Mi-potager et mi-verger, Avec quelque fleur qui se dresse Couleur d’amour et d’allégresse,
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Le dernier coup de vêpres a sonné… Entrons donc dans l’Église et couv… Il y a peu de monde encore. Qu’il… C’est bon par ces temps lourds, ça… On allume les six grands cierges,…
Le bruit des cabarets, la fange du… Les platanes déchus s’effeuillant… L’omnibus, ouragan de ferraille et… Qui grince, mal assis entre ses qu… Et roule ses yeux verts et rouges…
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
La petite marquise Osine est tout… Elle pourrait aller grossir la rib… Des folles de Watteau sous leur c… Et de soleil, mais comme on dit, e… Parisienne en tout, spirituelle et…
Nous sommes bien faits l’un pour l… Pourtant quand tu me rencontreras Menant mes derniers embarras D’homme grave et de bon apôtre, Ruine encore de chrétien,