"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
Nature, rien de toi ne m’émeut, ni… Nourriciers, ni l’écho vermeil des… Siciliennes, ni les pompes auroral… Ni la solennité dolente des coucha… Je ris de l’Art, je ris de l’Homm…
Chabrier, nous faisions, un ami ch… Des paroles pour vous qui leur don… Et tous trois frémissions quand, p… Passait l’Ecce deus et le Je ne s… Chez ma mère charmante et divineme…
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il f… Mon flanc percé, mon cœur qui rayo… Et mes pieds offensés que Madelei… De larmes, et mes bras douloureux… De tes péchés, et mes mains ! Et…
Les longs rideaux de blanche mouss… Que la lueur pâle de la veilleuse Fait fluer comme une vague opaline Dans l’ombre mollement mystérieuse… Les grands rideaux du grand lit d’…
Je crois ce que l’Église catholiqu… M’enseigna dès l’âge d’entendement… Que Dieu le Père est le fauteur u… Et le régulateur absolument De toute chose invisible et visibl…
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
L’un toujours vit la vie en rose, Jeunesse qui n’en finit plus, Seconde enfance moins morose, Ni vœux, ni regrets superflus. Ignorant tout flux et reflux,
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, Plus clairs que l’étoile des cieux… J’aimais ses yeux malicieux. Dansons la gigue !
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire… Elle est discrète, elle est légère… Un frisson d’eau sur de la mousse… La voix vous fut connue (et chère…
Madame et Pauline Roland, Charlotte, Théroigne, Lucile, Presque Jeanne d’Arc, étoilant Le front de la foule imbécile, Nom des cieux, cœur divin qu’exile
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,