" Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
Baiser ! rose trémière au jardin d… Vif accompagnement sur le clavier… Des doux refrains qu’Amour chante… Avec sa voix d’archange aux langue… Sonore et gracieux Baiser, divin…
Le pauvre du chemin creux chante e… Il dit : « Mon nom est Pierre et… Et je m’appelle aussi Duchatelet. Une fois je vis, moi qu’on croit t… Passer vraiment une femme très bel…
Le soldat qui sait bien et veut bi… Sera l’homme qu’il faut au Devoir… Le Devoir, qu’il combatte ou qu’i… Qu’il s’essore à la mort ou batte… Le Devoir, qu’il subisse (et l’ai…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…
La chambre, as-tu gardé leurs spec… Ô pleine de jour sale et de bruits… La chambre, as-tu gardé leurs form… Par ces crasses au mur et par quel… Ah fi ! Pourtant, chambre en garn…
Je n’ai pas de chance en femme, Et, depuis mon âge d’homme, Je ne suis tombé guère, en somme. Que sur des criardes infâmes. C’est vrai que je suis criard
Voulant te fuir (fuir ses amours ! Mais un poète est bête), J’ai pris, l’un de ces derniers jo… La poudre d’escampette. Qui fut penaud, qui fut nigaud
Un pavillon à claires-voies Abrite doucement nos joies Qu’éventent des rosiers amis ; L’odeur des roses, faible, grâce Au vent léger d’été qui passe,
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
Quinze longs jours encore et plus… Déjà ! Certes, parmi les angoisse… La plus dolente angoisse est celle… On s’écrit, on se dit que l’on s’a… D’évoquer chaque jour la voix, les…
C’est le chien de Jean de Nivelle Qui mord sous l’œil même du guet Le chat de la mère Michel ; François-les-bas-bleus s’en égaie. La Lune à l’écrivain public
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand cœur et la glo… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
Ah ! les oaristys ! les premières… L’or des cheveux, l’azur des yeux,… Et puis, parmi l’odeur des corps j… La spontanéité craintive des cares… Sont-elles assez loin toutes ces a…
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,