#ÉcrivainsFrançais
On a transformé le trottoir en vél… On ne voit pas ses mains et le gui… On a peur de le voir tomber et qu’…
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
J’ai peut-être mis au vestiaire plus que mes vêtements. Je m’avance, allégé, avec trop d’assurance et quelqu’un dans la salle a remarqué mes pas. Les rayons sont pleins de danseuses. Je...
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
La fenêtre Un trou vivant où l’éclair bat Plein d’impatience Le bruit a percé le silence On ne sait plus si c’est la nuit
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
Un souffle sec vient de plus loin Les ailes noires se balancent Rien ne part Au chemin tournant Les ardeurs du jour se délassent
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés
Sous la vitre L’abri des gouttes de rosée Et le long des gouttières Entre les deux nuages Le plomb au bout du fil
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
Dans la rue ce sont avec la couleu… ciel large et bas les pavés luisan… La rue est divisée en cadres blanc… marque son pas où la pluie joue au… les grosses gouttes de l’orage
Il se penche au bord du parapet et… Les nuages font marcher la maison… Les toiles d’araignées se déchiren…