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Carrés

Le masque honteux cachait ses dents.
Un autre œil voyait qu’elles étaient fausses.
Où cela se passe-t-il ?
Et quand ?
Il est seul, il pleure, malgré l’orgueil qui le soutient, et il devient laid.
Parce qu’il a plu sur les souliers, disait l’autre, de la salive sur mes souliers, je suis devenu pâle et méchant.
Et il embrassa le masque |qui le mordit en ricanant.
 
Le profil, le même profil que la grande chanteuse !
Elle voulait l’avoir, elle l’eut et aussi son immense bouche sans sa voix.
Mais ce qu’elle enviait le plus c’était sa robe et jamais elle ne put l’avoir.
 
Si vous entendez derrière vous faire
Psst et qu’en même temps passe un taxi ne vous retournez pas... c’est pour le taxi.
 
Les cheveux coupés, la tête tranchée, le sabre restait encore entre ses dents.
Le bourreau amateur pleurait et sa figure était un masque.
On l’avait importé de
Chine et il ne savait plus être cruel.
 
Je passe en m’engouf-frant, je m’engouffre en passant.
Quel gouffre !
La tête qui tournait autour de moi a disparu.—
Les
Oiseaux chantaient derrière la fenêtre ; ils chantaient faux et n’étaient pas en plumes véritables.
 
Le rhum est excellent la pipe est amère et les étoiles qui tombent de vos cheveux s’envolent dans la cheminée.
 
De la reliure de tes lèvres de la reliure de tes volets de la reliure de nos mains.
O peut-être plus facile.
Sur le balcon de bois elle montait la garde en chemise éclatante.
 
Après les premiers pas sur les pointes il avait pris son vol.
Les premiers nuages l’arrêtent.
Ce sont des glaces.
Et là, où il retrouvait notre monde sans la chair, il se crut au ciel.
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