#ÉcrivainsFrançais
Le champ s’incline à la lumière Au bas du ciel bleu plus serein La route court sous la poussière Mais le soleil n’y est pour rien La voix qui monte est sans éclat
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
Mon doigt saigne Je t’écris Avec Le règne des vieux rois est fini Le rêve est un jambon
La rue est toute noire et la saison n’a pas laissé de traces. J’aurais voulu sortir et l’on retient ma porte. Pourtant là-haut quelqu’un veille et la lampe est éteinte. Tandis que les b...
Dans la cour au couchant Les cris perdus sous les marques d… ou la campagne Cette face tranquille et vaste La nuit qui se cache
Après la charge, après la ronde je… Un autre soldat que moi dort dans… Quand je me réveille, en sursaut,… Le même cauchemar qui nous unissai…
Le soir couchant ferme une porte Nous sommes au bord du chemin Dans l’ombre près du ruisseau où tout se tient Si c’est encore une lumière
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
Les débris culbutés dans le coin Il ne reste plus rien Les murs et le triangle Pourtant L’espoir qui nous soutient
Dans la ville il n’y a plus person… On monte à travers les bois Quelques-uns tombent Et ceux qui arriveront trop tard C’est toi
On parlait encore là derrière Des hommes passaient deux à deux C’était peut-être une prière Qui montait des cœurs du milieu Entre les murs de la clairière
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Dans une singulière détresse d’or j’attends, passé minuit, que vienne l’heure propice à toutes les défenses contre les éléments. Je vais passer devant l’ennemi, redoutable plus que la p...
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
A présent la ruelle est refermée par la lettre majeure de l’enseigne que le vent rabattait sans cesse contre l’arbre du coin de la forêt à vendre. Le vent en tourbillons aigris garnit l...