Prose
#ÉcrivainsFrançais
L’arbre du soir, Pabat-jour de la lampe et la clef du repos. Tout tremble quand la porte s’ouvre sans éveiller de bruit. Le rayon blanc traverse la fenêtre et inonde la table. Une main ...
Il faisait si chaud qu’il laissait… Il les laissait accrochés aux buis… Et, quand il fut nu, il s’approcha… Une honte immense s’empara de lui… Il était nu et comment ne pas atti…
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus
La pièce est courte et l’acte est… As-tu regardé par derrière Le miroir s’enfonçait On y voyait une ombre De tous ceux qui sont morts on ne…
Le mal est fait Les vagues dans le salon pénètrent… A travers les ouvertures blanches… L’ombre plus bleue contre les raie… C’est de l’air
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Une longue aiguille traverse le ro… Un arbre Un doigt La lune borgne Une fenêtre qui nous lorgne
On parlait encore là derrière Des hommes passaient deux à deux C’était peut-être une prière Qui montait des cœurs du milieu Entre les murs de la clairière
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
Comment vivre ailleurs que près de… Le vieillard a jeté une à une ses… A quoi bon continuer à mordre ces… Le vieillard Les dents
Plus épais, il avait voulu le faire plus épais pour son fils que pour lui, Roi. Et, entre la canne et la corne où se balance son chapeau et la tête vide qui rit de sa position saugrenue...
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés
Les ailes sont chargées Le désespoir s’envole Mes mains ont laissé descendre len… Le rideau sans plis de ma mémoire Mais l’intermède du jour bruyant s…