#ÉcrivainsFrançais
On ferme la porte Le courant La croix Le panneau blanc s’écaille Les armes sur la main
Et encore une autre lumière Le nombre en augmente toujours Autant d’étoiles que de jours J’attends Que passe là derrière
Sur le rempart où tremblent des ru… La nuit finie, le bruit dissipe le… Au milieu des fumées les hommes so… Qui sonna la victoire ? La charge… Un trompette rallie des lambeaux d…
Une petite tache brille entre les… La chambre est vide et les volets… C’est le jour qui entre ou quelque… Le paysage du mur—l’horizon de der… Il y a des arbres et des nuages, d…
Il marchait sur un pied sans savoir où il poserait l’autre. Au tournant de la rue le vent balayait la poussière et sa bouche avide engouffrait tout l’espace. Il se mit à courir espérant...
On parlait encore là derrière Des hommes passaient deux à deux C’était peut-être une prière Qui montait des cœurs du milieu Entre les murs de la clairière
Si j’ai ri ce n’est pas du monde é… Les têtes penchées ou droites me f… Les jambes qui courent tremblent e… Je n’ai pas ri du monde qui passai…
Mince et froide l’aile du temps s’… Et l’air au bout du jour vient ajo… L’écho des plaintes et les murmure… L’heure passe aux couleurs Les numéros s’égalent
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…
Sous les lueurs des plantes rares les joues roses des cerisiers les diamants de la distance Et les perles dont elle se pare Sous les lustres des flaques tiède…
Au pied de l’arbre, ce n’était qu’un ivrogne qui remuait au gré du vent. Son portrait est dans toutes les glaces, son esprit au fond de tous les verres. Est-ce une chose qui reste ? Il ...
Apres un voyage trop long et des insomnies prolongées, seule la plus grande joie vient t’attendre. Sans aucune certitude ni garantie avec tous les efforts, seulement permis et promis, t...
La teinte grise au cadran lumineux Au cadran sans aiguilles Au regard bleu Au bord de cette ville dont le clocher s’endort
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...