#ÉcrivainsFrançais
Vampire de Cochon celui qui aime… Celui qui mange de tout peut se no… Charniers et abattoirs ossuaires et reposoirs grands pères grand’messes des mort…
Tu avais bien tout de même dans les quatre-vingts ans Mais Dieu qui sait prendre les choses de très haut En faveur de son petit chanteur de la manécanterie derrière elle Et les voilà pa...
Oubliettes des châteaux de sable Meurtrières fenêtres de l’oubli Tout est toujours pareil Et cependant tout a changé Tu étais nue dans le soleil
J’en ai vu un qui s’était assis sur le chapeau d’un autre il lui était absolument impossible de faire un geste ou de parler et l’autre l’autre qui cherchait « son » chapeau était plus p...
Les grandes personnes que les enfants appellent leurs parents jetteront peut-être sur ce livre un coup d’œil distrait, amusé mais ne le verront ni ne l’entendront ni du même œil ni de l...
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
On ne peut pas crier on ne peut pas tomber plus bas. Renault au boulot ! Misérable slogan hurlé Champs-Elysées
En l’an DIX neuf cent, le paon f… En l’an dix neuf cent quatorze la… En Tan dix neuf cent soixante neu… Division des pains : à la droite d… Réduit en miettes, la Sainte Fami…
Saouls, des permissionnaires en ro… Il est cocu le chef de gare ! Cette chanson bien française est a… Bien sûr, personne ne la chante ni… Dans la
Un jour, à la Foire à la ferraille au coin de l’avenue de la République et du boulevard Richard-Lenoir, je trouvai un petit chromo anglais sur bois, avec rien d’autre que la mer sur le ...
Tu sais que ma peinture ne veut rien de magistral ou d’important et que j’essaie de donner une vie plus réelle aux choses insignifiantes, pauvres, simples, oubliées et jetées-Plumes et ...
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Un marin a quitté la mer son batea… ... et voilà Une veuve a quitté le deuil une folle a quitté l’asile et ton sourire a quitté mes lèvres
Dans les manèges du mensonge Le cheval rouge de ton sourire Tourne Et je suis là debout planté Avec le triste fouet de la réalité