C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;
C est le chapitre de Martinius . C est un article sur le journal C… C est du verre latin pour une douc… C est le verger de Maursil et le… La dame en rouge .. c était la ba…
Sonnet LXXV. Gordes, que Du Bellay aime plus q… Vois comme la nature, ainsi que du… Nous a faits différents de mœurs e… Et ce qui plaît à l’un, à l’autre…
Vois. Un ciel cuivré d’automne Et, sous ce ciel presque roux, Un bois léthargique et doux, Des fleurs, et la mer bretonne. Les fleurs vont mourir ; le bois
Comme on voit sur la branche au mo… En sa belle jeunesse, en sa premie… Rendre le ciel jaloux de sa vive c… Quand l’Aube de ses pleurs au poi… La grace dans sa feuille, et l’amo…
Les jours lumineux de nos fiançail… Les beaux jours que rien n’est ven… Mon cœur, ô mon cœur, comme tu tre… À leur souvenir ! Ô la triste vie, ô la vie amère,
STANCES. 1599. Ainsi quand Mausole fut mort, Artémise accusa le sort, De pleurs se noya le visage,
En négligé galant, trônant dans so… La nouvelle épousée (elle est au m… Avec ses traits mutins et d’une gr… Regarde le mari qui vaque à son de… Aux pieds de son Omphale Hercule…
Sonnet XXIII. Si je pouvoy’ porter dedans le sei… Avec mon amitié celle que j’ayme a… Je ne me plongeroy au curieux souc… Qui dévore mes sens d’une ennuyeus…
Pour évoquer les jours défunts Il m’a suffi de quelques roses : J’ai respiré dans leurs parfums Tes lèvres closes. Je sais des jasmins d’occident
Contrerime LII. C’était, dans les vapeurs du nard, Un cri, des jeux infâmes, Et ces yeux fatals qu’ont les femm… Du cruel Fragonard.
Les rêves échoués desséchés font a… rivières de formidables tas d’ossements mue… les espoirs trop rapides rampent s… en serpents apprivoisés
Ni tout noirs, ni tout verts, coul… D’espérances jamais en fleur, Les ifs balancent des colombes, Et cela réjouit les tombes. Elles éclatent, dans les ifs,
Ta sagesse, grand Dieu, dans tes… Débrouilla le chaos ; Et fixant sur son poids la terre b… La sépara des flots. Par-là, son sein fécond, de fleurs…
Qu’elle est gracieuse et belle ! Est-il rien d’aussi beau qu’elle ? Me diras-tu, matelot, Sur ta galère fidèle, Si la galère, ou le flot,
Je t’écris un poème qui va grandir, s’allonger d’un pied
Viennent les ans ! J’aspire à cet… Où mon sang coulera plus sage dans… Où, les plaisirs pour moi n’ayant… Je vivrai doucement avec mes vieil… Quand l’amour, désormais affranchi…
C’étaient trois matelots de Groix… Ils étaient partis tous les trois Pêcher la sole : Les pauvres garçons n’avaient pas Plus de sextant que de compas
Quand le Soleil du soir parcourt… Et jette l’incendie aux vitres du… Je suis la Grande Allée et ses de… Tout plongé dans mes rêveries ! Et de là, mes amis, c’est un coup…
L’an se rajeunissait en sa verte j… Quand je m’épris de vous, ma Sino… Seize ans étaient la fleur de votr… Et votre teint sentait encore son… Vous aviez d’une infante encor la…
N’est-ce point sans raison que ces… Etre sur les humains respectés en… Car ils sont demi-dieux, puisque l… Leur louable excrément de substanc… Et si vous adorez un ciboire pour…
Rêvant aux métamorphoses Que les dieux faisaient jadis : « Belles se changeaient en roses, Disait l’aimable Doris. Heureux temps pour un cœur tendre…
Ô mon Seigneur Jésus, enfance vén… Je vous aime et vous crains petit… Car vous êtes le fils de l’amour a… Ô mon Seigneur Jésus, adolescent… Mon âme vous contemple avec humili…
Un bon mari, sa femme et deux joli… Coulaient en paix leurs jours dans… Où, paisibles comme eux, vécurent… Ces époux, partageant les doux soi… Cultivaient leur jardin, recueilla…
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
La goutte d’eau de l’Habitude Corrode notre liberté Et met sur notre volonté La rouille de la servitude. Elle infiltre une quiétude
Sur l’éloignement prochain de la c… La Roche, ou de la vicomtesse d’A… 1608. Le dernier de mes jours est dessus… Celle dont mes ennuis avaient leur…
FRAGMENT. 1604. . . . . . .… L’Orne comme autrefois nous rever… Ravis de ces pensers que le vulgai…
Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…
Les marins ont dit aux oiseaux de… Nous allons bientôt partir pour l’… Quand le vent du Nord sera moins… Et quand le printemps fleurira la… Et les bons oiseaux leur ont répon…
Parmi les marbres qu’on renomme Sous le ciel d’Athène ou de Rome, Je prends le plus pur, le plus bla… Je le taille et puis je l’étale Dans ta pose d’Horizontale
Tant de fois s’appointer, tant de… Tant de fois rompre ensemble et pu… Tantost blasmer Amour et tantost… Tant de fois se fuyr, tant de fois… Tant de fois se monstrer, tant de…
Cher d’Aigremont, d’où te vient,… Ce mal effréné, dont la rage Au grand galop suit ton rapide ess… Et pour qui, t’éloignant de ton do… Tu te mets en pèlerinage
Tableau VI. Dans cette alcôve solitaire Sans doute habite le repos : Voyons. Mais ces doubles rideaux Semblent fermés par le mystère ;
Fable XI, Livre III. Le vent s’élève ; un gland tombe d… Un chêne en sort.—Un chêne ! Osez… Chêne cet avorton qu’un souffle fa… Ce fétu, près de qui la plus humbl…
Voici le frais matin, mais tout so… Les arbres sont rêveurs dans l’imm… La nuit trace au fusain des tablea… Couvrira d’un pastel sublime, la c… Les oiseaux ont encore la tête sou…
Fable VI, Livre IV. Or çà, mes amis, essayons De vous redire en vers tout ce que… Disait naguère en prose, en voyant… Porter jusqu’à six pas la lumière…
Stances au Roi Henri Le Grand. 1610. À la fin tant d’amants, dont les â… Languissent nuit et jour, Verront sur leur auteur leurs pein…
L’extraordinaire téléphonie du feu… La pluie, c’est la manière rageuse… Où a-t-on pris que la pluie tombe… C’est le courage des hommes qui es… La pluie est toujours de tout cœur…
Sous le rideau de pourpre et son r… Du lit encourtiné tu délaisses la… Car il est déjà tard et ta vitre s… Aux rayons scintillants que darde… Eh quoi ! Tu n’es pas même en ce…
Mourir dans la buée ardente de l’é… Quand parfumé, penchant et lourd c… Le coeur, que la rumeur de l’air b… S’égrène en douloureuse et douce v… Mourir, baignant ses mains aux fra…
Donne moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou d… Dans le ruisseau d’Oubly dessus m… Endor mes pauvres yeux, mes goutte… Misericorde ô Dieu, ô Dieu ne me…
Je sais que je rencontrerai mon ombre, un jour, c’est notre destin. Je sais qu’un jour, la lumière s’éteindra pour nous et la gravité mortelle nous absorbera. Mais alors, sans espace et...
Tableau VIII. Un bosquet, une jeune femme ; À ses genoux un séducteur Qui jure une éternelle flamme, Et qu’elle écoute sans rigueur ;
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
En ce temps-là, je me rappelle Que je ne pouvais concevoir Pourquoi, se pouvant faire belle, Ma mère était toujours en noir. Quand s’ouvrait le bahut plein d’o…
Source éternelle de lumière, Trinité souveraine et très simple… Le visible soleil va finir sa carr… Fais luire dans nos cœurs l’invisi… Qu’au doux concert de tes louanges
Fable III, Livre I. D’Actéon, mes amis, vous savez l’… Vous savez qu’un peu cher il paya… Où la seule Diane a pu voir une i… Aux mots qu’en son courroux cette…
Proscrit, errant, sans foyer, sans… Cet enfant nouveau né d’une épouse… Même en nous consolant ajoutait à… Mais des infortunés la généreuse a… Lui daigne ouvrir ses bras et son…
Sur les rives de mon chagrin, Tu t’es échouée. Brisée, ton corps secoué et Tes pleurs répétés. Sur les rives de mon chagrin,
Bonjour, le poète Alain lacheteau… Pour écrire des mots .. une poés… À l ombre du vieux chêne . Et vient de regarder passer les nu… Je viens de courir sur le rocher e…
Le percepteur trouve qu’on tarde ; Il veut être payé ce soir. —J’ai quelques sous, mais je les g… Pour vous acheter du pain noir. Si je n’en porte à votre mère,
Tous les bas âges sont épars sous… Certes, l’alignement des vases et… Ce parterre au cordeau, ce cèdre r… Ce chêne que monsieur Despréaux e… Ces barreaux noirs croisés sur la…
S’ILS ME DEMANDENT Dites de moi ce qui est irréparabl… ce qui n’était pas ou ce qui était… ombre cristalline sur ma vie. Dites de moi... que le vent a foue…
Le miel sucré de vostre grâce, Le bel astre de vostre face Meurtrière de tant de cueurs Ne sorte de ma souvenance ; Mais où prendray-je l’espérance
Oui, je suis proprement à ton nom… Le temple consacré, tel qu’en Tau… Fut celui où le sang apaisait ton… Mon estomac pourpré est un pareil… On t’assommait l’humain, mon sacri…
La côte se découpe en golfes où l’… Sonne, comme une trompe, aux murs… Jéricho, Un Jéricho de brume et flexible comme…
Bel arbre, je viens effacer Ces noms gravés sur ton écorce, Qui par un amoureux divorce Se reprennent pour se laisser. Ne parle plus d’Éléonore ;
Il a vécu tantôt gai comme un sans… Tour à tour amoureux insoucieux et… Tantôt sombre et rêveur comme un t… Un jour il entendit qu’à sa porte… C’était la Mort ! Alors il la pri…
Oui, mais ainsi qu’on voit en la g… Les débats des plus grands, du fai… De leur douteux combat laisser tou… Au corps mort du pays, aux cendres… Je suis le champ sanglant où la fu…