#ÉcrivainsFrançais
Comme un aveugle s’en allant vers… Dans les bruits de la ville assail… Appuie obstinément aux vitres des… Ses yeux qui ne voient pas vers l’… Comme ce rail brillant dans l’ombr…
En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…
On n’inscrit pas d’initiales à la… Un éternel faucheur efface les tab… ville de gélatine complaisante aux… La fumée tient une grande place da… Et quelque tigre féroce a décalqué…
Qui donc pourrait me voir Moi la flamme étrangère L’anémone du soir Fleurit sous me3 fougères O fougères mes mains
Le poisson sans-souci Vous dit bonjour vous dit bonsoir Ah ! qu’il est doux qu’il est poli Le poisson sans-souci. Il ne craint pas le mois d’avril
Se glisser dans ton ombre à la fav… Suivre tes pas, ton ombre à la fen… Cette ombre à la fenêtre c’est toi… N’ouvre pas cette fenêtre derrière… Ferme les yeux.
Ste Assise es-tu si fatiguée que tu ne… DIX fois deux sous vingt sous Tu t’ennuies sans rémission Ste
Il n’était pas une fois un beau château au centre d’un dés… nul ne tentait d’en franchir l’acc… dans un bassin y nageait une sirène
Rue Aubry-le-Boucher on peut te foutr… Bouziller tes tapins, tes tôles et… Où se faisaient trancher des sœurs… Portant bavette en deuil sous des…
La rose à voix de soprano joue la nuit du piano. Cela charme les monts et la plaine le Rhin, la
La belle, si tu vevix, je ferai to… Dans le décor sanglant de ma bouti… Mes couteaux seront les miroirs ma… Où le jour se lève, éclate et pâli… Je ferai ton lit creux et chaud
L’anémone qui régnait sur la mer règne encore c’est entendu. Mais si peu elle est perdue. Elle est perdue au fond des mers Elle se souvient de ses diamants
Ce cœur qui haïssait la guerre voi… Ce cœur qui ne battait qu’au rythm… Voilà qu’il se gonfle et qu’il env… Et qu’il mène un tel bruit dans la… Et qu’il n’est pas possible que ce…
Comme vous m’êtes nécessaires et comme vous m’êtes chères. Mes yeux qui se ferment sur des larmes imaginaires, mes mains qui se tendent sans cesse vers le vide. J’ai rêvé cette nuit de ...
L’eau ne vêtirait plus ce corps à… La clairière l’absorbe autant que… Mais des griffes ont fait, au vent… Qui tache de son sang le tissu d’u… De la main relevant, sur son front…