" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
C’est toi, dénaturée ! Oui, te vo… Qui fis taire ton cœur pour écoute… Qui, pour gagner ton ciel de larve… Foulas ton âme aux pieds, mère sou… Et qui, lorsque ton fils se coucha…
Je lisais Platon.—J’ouvris La porte de ma retraite, Et j’aperçus Lycoris C’est-à-dire Turlurette. Je n’avais pas dit encor
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
Le jour, d’un bonhomme sage J’ai l’auguste escarpement ; Je me conforme à l’usage D’être abruti doctement, Je me scrute et me dissèque,
Qui peut en ce moment où Dieu peu… Deviner Si c’est du côté sombre ou joyeux… Va tourner ? Qu’est-ce qui va sortir de ta main…
Quand vous vous assemblez, bruyant… Pour aller le traquer jusqu’en sa… Vous excitant l’un l’autre, acharn… –Ne le sentez-vous pas ? – le peup… Qui rêvait à vos cris un dragon da…
DAVID ! comme un grand roi qui p… Les états paternels provinces par… Dieu donne à chaque artiste un emp… Au poète le souffle épars dans l’u… La vie et la pensée et les foudres…
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
Aux environs de Paris. Midi chauffe et sèche la mousse ; Les champs sont pleins de tambouri… On voit dans une lueur douce Des groupes vagues et sereins.
L’humble chambre a l’air de sourir… Un bouquet orne un vieux bahut ; Cet intérieur ferait dire Aux prêtres : Paix ! aux femmes :… Au fond une alcôve se creuse.
Personne pour toi. Tous sont d’ac… Nommé Gladstone, dit à tes bourre… Cet autre, nommé Grant, te conspu… Nommé Bancroft, t’outrage ; ici c… Là c’est un soldat, là c’est un ju…
Le Mausolée est beau, vaste, admi… Sa première muraille est toute en… La deuxième en albâtre, et la troi… Est en gypse incrusté d’onyx et d’… Franchissez-les ; voilà le mur de…
Aimons toujours ! Aimons encore ! Quand l’amour s’en va, l’espoir fu… L’amour, c’est le cri de l’aurore, L’amour c’est l’hymne de la nuit. Ce que le flot dit aux rivages,
Donc, vieux partis, voilà votre ho… Aux jours sereins, quand rien ne n… Dogue aboyant, dragon farouche, hy… Taupe aux jours du danger ! Pour le mettre à leur tête, en nos…
Mes vers fuiraient, doux et frêles… Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l’oiseau. Il voleraient, étincelles,