" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Méditons. Il est bon que l’esprit… De ces spectacles-là. L’on n’étai… De perroquet ayant un grand nom po… Pauvre diable de prince, usant son… Auquel mil huit cent quinze avait…
Batailles ! noirs duels de la forc… Guerres, par le hasard en courant… N’êtes-vous pas souvent funestes a… Que de fois vous avez souillé d’in… La Justice et la Paix, ces chaste…
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
Une de plus que les muses ; Elles sont DIX. On croirait, Quand leurs jeunes voix confuses Bruissent dans la forêt, Entendre, sous les caresses
Puisque ce monde existe, il sied q… Sachons considérer les êtres sans… Cet homme est le bourgeois du sièc… Autrefois il vendait des suifs et… Maintenant il est riche ; il a pré…
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
Arbres de la forêt, vous connaisse… Au gré des envieux la foule loue e… Vous me connaissez, vous !—vous m’… Seul dans vos profondeurs, regarda… Vous le savez, la pierre où court…
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…
Je ne vois pas pourquoi je ferais… Que de rêver sous l’arbre où le ra… Les chars passent, j’entends grinc… Quand les filles s’en vont laver à… Elles prêtent l’oreille à ma chans…
Voici le trou, voici l’échelle. D… Tandis qu’au corps de garde en fac… En riant sous le nez des matrones… Laissez le crieur rauque, assourdi… Proclamer le numide ou le dace aux…
Puisque le juste est dans l’abîme, Puisqu’on donne le sceptre au crim… Puisque tous les droits sont trahi… Puisque les plus fiers restent mor… Puisqu’on affiche au coin des born…
Qu’était-ce que l’enfant ? qu’étai… Je l’ignorais. C’était la saison… Qui nous enchante ; et n’a qu’un d… Avril. De ma mansarde, entr’ouver… Je regardais, à l’heure où le jour…
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
Viens !—une flûte invisible Soupire dans les vergers.— La chanson la plus paisible Est la chanson des bergers. Le vent ride, sous l’yeuse,
Un grand houx, de forme incivile, Du haut de sa fauve beauté, Regardait mon habit de ville ; Il était fleuri, moi crotté ; J’étais crotté jusqu’à l’échine.