"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
#ÉcrivainsFrançais
Chanson. Pour les bannis opiniâtres, La France est loin, la tombe est… Prince, préside aux jeux folâtres, Chasse aux femmes dans les théâtre…
Ce serait une erreur de croire que… Finiront par des chants et des apo… Certes, il viendra, le rude et fat… Jamais l’arrêt d’en haut ne recule… Mais ces jours effrayants seront d…
Dante écrit deux vers, puis il sor… Se parlent. Le premier dit :– Les… Cieux ! je suis immortel.– Moi, j… Dit l’autre.– je suis l’astre.– E… —Quoi ! tu doutes étant fils d’un…
Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…
Moi qu’un petit enfant rend tout à… J’en ai deux ; Georges et Jeanne… Et l’autre pour lumière, et j’acco… Vu que Georges a deux ans et que… Leurs essais d’exister sont divine…
France ! à l’heure où tu te proste… Le pied d’un tyran sur ton front, La voix sortira des cavernes Les enchaînés tressailleront. Le banni, debout sur la grève,
Ces lieux sont purs ; tu les compl… Ce bois, loin des sentiers battus, Semble avoir fait des violettes, Jeanne, avec toutes tes vertus. L’aurore ressemble à ton âge ;
Les quatre enfants pleuraient et l… Tout dans ce lieu lugubre effrayai… Sur le grabat gisait le cadavre ha… C’était déjà la tombe et déjà le f… Pas de feu ; le plafond laissait p…
Puisqu’ils n’ont pas compris, dans… Qu’après tant de splendeur, de pui… Il était grand et beau que la Fra… L’aumône d’une fosse à ton noble c… Puisqu’ils n’ont pas senti que cel…
Charle ! Charle ! ô mon fils ! qu… Ah ! tout fuit ! rien ne dure ! Tu t’es évanoui dans la grande cla… Qui pour nous est obscure. Charles, mon couchant voit périr t…
En ces temps-là c’était une ville… Au pouvoir des Anglais, maîtres d… Qui, du canon battue et de terreur… Disparaissait dans les éclairs. C’était une cité qu’ébranlait le t…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
Je prendrai par la main les deux p… J’aime les bois où sont les chevre… Où les cerfs tachetés suivent les… Et se dressent dans l’ombre effray… Car les fauves sont pleins d’une t…
MINUIT. Le frêle esquif sur la mer sombre Sombre ; La foudre perce d’un éclair L’air.
L’habit râpé Vivent les bas de soie et les soul… La chaise dépaillée Dieu dit aux bons fauteuils : faut… Le poêle froid