"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
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J’eus toujours de l’amour pour les… Lorsque j’étais enfant, j’allais s… J’y prenais dans les nids de tout… D’abord je leur faisais des cages… Où je les élevais parmi des mousse…
Ce siècle a la forme D’un monstrueux char. Sa croissance énorme Sous un nain césar, Son air de prodige,
On lit dans les Annales de la pro… « Une lettre de Hong-Kong (Chine… 1832, nous annonce que M. Bonnard… Tong-King, a été décapité pour la… Ce nouveau martyr était né dans le…
II. J’ai vu les coeurs peu rebelles, Les grands guerriers tourtereaux, Ce qu’on appelait les belles, Ce qu’on nommait les héros.
Maintenant que Paris, ses pavés e… Et sa brume et ses toits sont bien… Maintenant que je suis sous les br… Et que je puis songer à la beauté… Maintenant que du deuil qui m’a fa…
Je lisais Platon.—J’ouvris La porte de ma retraite, Et j’aperçus Lycoris C’est-à-dire Turlurette. Je n’avais pas dit encor
C’était en juin, j’étais à Bruxel… Savez-vous ce que fait maintenant… Et l’on me raconta le meurtre juri… Charlet assassiné sur la place pub… Cirasse, Cuisinier, tous ces info…
Le matin– En dormant. J’entends des voix. Lueurs à trav… Une cloche est en branle à l’églis… Cris des baigneurs. Plus près ! p… Non, par là ! Les oiseaux gazouil…
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
Monte, écureuil, monte au grand ch… Sur la branche des cieux prochaine… Qui plie et tremble comme un jonc. Cigogne, aux vieilles tours fidèle… Oh ! vole et monte à tire-d’aile
Oui, va prier à l’église, Va ; mais regarde en passant, Sous la vieille voûte grise, Ce petit nid innocent. Aux grands temples où l’on prie
Ô noirs événements, vous fuyez dan… L’empereur mort tomba sur l’empire… Napoléon alla s’endormir sous le s… Et les peuples alors, de l’un à l’… Oubliant le tyran, s’éprirent du h…
En guerre les guerriers ! Mahomet… Les chiens mordent les pieds du li… Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète di… Ces chancelants soldats qui s’eniv…
Quand je rêve sur la falaise, Ou dans les bois, les soirs d’été, Sachant que la vie est mauvaise, Je contemple l’éternité. A travers mon sort mêlé d’ombres,
L’amour fut de tout temps un bien… Si l’on ne veut pas être à la port… Dès qu’on aime une belle, on s’obs… On met le naturel de côté ; bête b… On se fait ange ; on est le nain…