"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
#ÉcrivainsFrançais
III. Prie encor pour tous ceux qui pass… Sur cette terre des vivants ! Pour ceux dont les sentiers s’effa… À tous les flots, à tous les vents…
VII. Toi qui bats de ton flux fidèle La roche où j’ai ployé mon aile, Vaincu, mais non pas abattu, Gouffre où l’air joue, où l’esquif…
GASTIBELZA, l’homme à la cara… Chantait ainsi : « Quelqu’un a-t-il connu doña Sab… Quelqu’un d’ici ? Dansez, chantez, villageois ! la n…
Hier, le vent du soir, dont le sou… Nous apportait l’odeur des fleurs… La nuit tombait ; l’oiseau dormait… Le printemps embaumait, moins que… Les astres rayonnaient, moins que…
Qu’était-ce que l’enfant ? qu’étai… Je l’ignorais. C’était la saison… Qui nous enchante ; et n’a qu’un d… Avril. De ma mansarde, entr’ouver… Je regardais, à l’heure où le jour…
La clarté du dehors ne distrait pa… La plaine chante et rit comme une… Le nid palpite dans les houx ; Partout la gaîté lui dans les bouc… Mai, couché dans la mousse au fond…
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
Aux champs, compagnons et compagne… Fils, j’élève à la dignité De géorgiques les campagnes Quelconques où flambe l’été ! Flamber, c’est là toute l’histoire
Ô grande nation, vous avez à cette… Tandis qu’en bas dans l’ombre on s… Un empire qui fait sonner ses étri… Les éblouissements des panaches gu… Une cour où pourrait trôner le roi…
Supposez Goliath mené par Myrmido… Le cornac est tout jeune et la bêt… Le palanquin tremblant par instant… Et vous cahote au point de vous es… Sous ses rideaux de cuir et son to…
Millions, millions, et millions d’… Je suis, dans l’ombre affreuse et… La splendide forêt des constellati… C’est moi qui suis l’amas des yeux… L’épaisseur inouïe et morne des lu…
En ce temps-là, du ciel les portes… Du Saint des Saints ému les feux… Tous les cieux un moment brillèren… Et les élus voyaient, lumineuses p… Venir une jeune âme entre de jeune…
Oh ! t… The da… And th… Are wo… BYRON.
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
II. C’est fini. Le silence est partou… Vive Poulmann césar et Soufflard… On fait des feux de joie avec les… La porte Saint-Denis sous ses hau…