"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
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Merci, poète !– au seuil de mes la… Comme un hôte divin, tu viens et t… Et l’auréole d’or de tes vers radi… Brille autour de mon nom comme un… Chante ! Milton chantait ; chante…
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
GASTIBELZA, l’homme à la cara… Chantait ainsi : « Quelqu’un a-t-il connu doña Sab… Quelqu’un d’ici ? Dansez, chantez, villageois ! la n…
Les femmes sont sur la terre Pour tout idéaliser ; L’univers est un mystère Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture,
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
En plein midi, quand l’astre est à… On se sent la sueur, tiède, perler… Les heures, groupe las, ne dansent… Tout fait la sieste ; on veut la g… La fleur se penche et dort ; et le…
Oh ! vous dont le travail est joie… Vous qui n’avez pas d’autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembr… Vous qui dérobez aux fleurs l’ambr…
J’aime les soirs sereins et beaux,… Soit qu’ils dorent le front des an… Ensevelis dans les feuillages ; Soit que la brume au loin s’allong… Soit que mille rayons brisent dans…
Oh ! qui que vous soyez, qui voule… Je vous plains. Vils, méchants, f… Vous périrez par ceux que vous cro… Le présent est l’enclume où se fai… L’araignée est plus tard prise en…
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
Ô soldats de l’an deux ! ô guerres… Contre les rois tirant ensemble le… Prussiens, autrichiens. Contre toutes les Tyrs et toutes… Contre le czar du nord, contre ce…
L’année en s’enfuyant par l’année… Encore une qui meurt ! encore un p… Encore une limite atteinte dans la… Encore un sombre hiver jeté sur no… Le temps ! les ans ! les jours ! m…
Aimons toujours ! Aimons encore ! Quand l’amour s’en va, l’espoir fu… L’amour, c’est le cri de l’aurore, L’amour c’est l’hymne de la nuit. Ce que le flot dit aux rivages,
Aventurier conduit par le louche d… Pour y passer la nuit, jusqu’à dem… Entre à l’auberge Louvre avec ta… Molière te regarde et fait signe à… L’un te prend pour Scapin, l’autr…
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,