"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
#ÉcrivainsFrançais
C’est bien ; puisqu’au sénat, puis… Tu poses, calme, altier, fier, ta… Puisque tu tends la main à l’argen… Puisque ta conscience est cotée au… Puisque tu prends ton rang dans la…
Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…
La bataille commença. Comment ? Par un doux sourire. Elle me dit :—Comme ça, Vous ne voulez pas m’écrire ? —Un billet doux ?—Non, des vers.
Parfois, lorsque tout dort, je m’a… Sous le dôme étoilé qui sur nos fr… J’écoute si d’en haut il tombe que… Et l’heure vainement me frappe de… Quand je contemple, ému, cette fêt…
Voyons, d’où vient le verbe ? Et… De qui tiens-tu les mots dont tu f… Écriture, Alphabet, d’où tout cela… Réponds. Platon voit l’I sortir de l’air s…
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Puisque le juste est dans l’abîme, Puisqu’on donne le sceptre au crim… Puisque tous les droits sont trahi… Puisque les plus fiers restent mor… Puisqu’on affiche au coin des born…
Il est pour tout mortel, soit que,… Un astre aux rayons purs illumine… Soit qu’il suive à pas lents un ce… Et, regrettant quelque ombre à son… Veille auprès de sa lampe, et répa…
Pancrace entre au lit de Lucinde… Et l’heureux hymen est bâclé Quand un maire a mis le coq d’Ind… Avec la fauvette sous clé. Un docteur tout noir d’encre passe
On devient attentif et rêveur, on… A voir passer là-haut quelque grou… Des choeurs éblouissants, des fête… Des archanges menant des pompes tr… Des âmes dans la gloire et dans l’…
Courtisans ! attablés dans la sple… La bouche par le rire et la soif é… Vous célébrez César, très bon, tr… Vous buvez, apostats à tout ce qu’… Le chypre à pleine coupe et la hon…
Les nuages volaient dans la lueur… Noir troupeau que le vent lugubre… Et dans la profondeur blême au-des… Si bas que tout mon être en haleta… J’aperçus un sommet par une déchir…
Aux petits incidents il faut s’hab… Hier on est venu chez moi pour me… Mon tort dans ce pays c’est de cro… On ne sait quel ramas de pauvres i… S’est rué tout à coup la nuit sur…
Jean Sévère était fort ivre. Ô barrière ! ô lieu divin Où Surène nous délivre Avec l’azur de son vin ! Un faune habitant d’un antre,
Ces femmes, qu’on envoie aux loint… Peuple, ce sont tes soeurs, tes mè… Ô peuple, leur forfait, c’est de t… Paris sanglant, courbé, sinistre,… Voit ces horreurs et garde un sile…