"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
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Marchands de gre ! marchands de la… Philistins ! magisters ! je vous h… Car, dans votre aplomb grave, infa… Vous niez l’idéal, la grâce et la… Car vos textes, vos lois, vos règl…
VII. Ô myrrhe ! ô cinname ! Nard cher aux époux ! Baume ! éther ! dictame ! De l’eau, de la flamme,
On y revient ; il faut y revenir m… Ce qu’on attaque en moi, c’est mon… Certes, on me laisserait en paix,… Si je ne contenais, atome de l’azu… Un peu du grand rayon dont notre é…
Mes vers fuiraient, doux et frêles… Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l’oiseau. Il voleraient, étincelles,
Tandis qu’au loin des nuées, Qui semblent des paradis, Dans le bleu sont remuées, Je t’écoute, et tu me dis : « Quelle idée as-tu de l’homme,
Oh… Oh… Ô mes lettres d’amour, de vertu, d… C’est donc vous ! Je m’enivre enc… Je vous lis à genoux.
Dieu prit sa plus molle argile Et son plus pur kaolin, Et fit un bijou fragile, Mystérieux et câlin. Il fit le doigt de la femme,
Elle ne connaissait ni l’orgueil n… Elle aimait ; elle était pauvre, s… Souvent le pain qui manque abrégea… Elle avait trois enfants, ce qui n… Qu’elle ne se sentît mère de ceux…
Viens, ô toi que j’adore, Ton pas est plus joyeux Que le vent des cieux ; Viens, les yeux de l’aurore Sont divins, mais tes yeux
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
Il est dans l’atrium, le beau roue… La roue agile est blanche, et la q… La quenouille est d’ébène incrusté… Il est dans l’atrium sur un riche… Un ouvrier d’Egine a sculpté sur…
L’étang mystérieux, suaire aux bla… Frisonne ; au fond du bois la clai… Les arbres sont profonds et les br… Avez-vous vu Vénus à travers la f… Avez-vous vu Vénus au sommet des…
Puisque mai tout en fleurs dans le… Viens ! ne te lasse pas de mêler à… La campagne, les bois, les ombrage… Les larges clairs de lune au bord… Le sentier qui finit où le chemin…
On dit que je suis fort malade, Ami ; j’ai déjà l’oeil terni ; Je sens la sinistre accolade Du squelette de l’infini. Sitôt levé, je me recouche ;
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…