"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
#ÉcrivainsFrançais
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
Tu viens d’incendier la Bibliothè… —Oui. J’ai mis le feu là. —Mais c’est un crime inouï ! Crime commis par toi contre toi-mê…
L’épanouissement, c’est la loi du… Il a fait la beauté, l’amour et le… Il veut la fleur dans la broussail… Son âme immense, à qui l’aube sert… Vibre à l’anxiété du moindre mouch…
Oh ! les charmants oiseaux joyeux… Comme ils maraudent ! comme ils pi… Où va ce tas de petits gueux Que tous les souffles éparpillent… Ils s’en vont au clair firmament ;
Ô Dieu ! si vous avez la France s… Ne souffrez pas, Seigneur, ces lu… Ces trônes qu’on élève et qu’on br… Ces tristes libertés qu’on donne e… Ce noir torrent de lois, de passio…
J’atteignais l’âge austère où l’on… Où l’on cherche, enivré d’on ne sa… Afin de pouvoir dire éperdument J… Quelqu’un. J’entrais dans ma treizième année.…
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…
II. Mais qu’importe ! l’herbe est vert… Et c’est l’été ! Ne pensons, Jeanne qu’à l’ombre entrouverte, Qu’aux parfums et qu’aux chansons.
À un ami. C’est vrai, pour un instant je lai… Tous nos grands problèmes profonds… Je menais des monstres en laisse, J’errais sur le char des griffons.
Maintenant que Paris, ses pavés e… Et sa brume et ses toits sont bien… Maintenant que je suis sous les br… Et que je puis songer à la beauté… Maintenant que du deuil qui m’a fa…
Un jour, maigre et sentant un roya… Un singe d’une peau de tigre se vê… Le tigre avait été méchant ; lui,… Il avait endossé le droit d’être f… Il se mit à grincer des dents, cri…
(Extrait) Peuples ! écoutez le poète ! Écoutez le rêveur sacré ! Dans votre nuit, sans lui complète… Lui seul a le front éclairé.
Un jour Ali passait : les têtes l… Se courbaient au niveau des pieds… Tout le peuple disait : Allah ! Un derviche soudain, cassé par l’â… Fendit la foule, prit son cheval p…
Le vieil esprit de nuit, d’ignoran… Des clous de Jésus-Christ forge à… Change l’enfant candide et pur en… Lie au bûcher Jean Huss et Morus… Frappe de sa férule Horace, et, s…