"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
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Un philosophe grec, persan ou byza… Débarqua sur les bords du Tibre u… Maint bourgeois tout de suite étou… Des curiosités de la ville de Rom… « Vous arrivez, monsieur ? Si vou…
« Amis et frères ! en présence de ce gouvernement infâme, négation de toute morale, obstacle à tout progrès social, en présence de ce gouvernement meurtri...
C’est l’hiver. Ô villes folles, Dansez ! Dans le bal béant Tourbillonnent les paroles De la joie et du néant. L’homme flotte dans la voie
Ils sont assis dans l’ombre et dis… Ils peuplent d’innocents les geôle… Et les pontons, nefs abhorrées, Qui flottent au soleil sombres com… Tandis que le reflet des mers sur…
Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître… Viens, quittons cette ville au cri… Qui, géante, et jamais ne fermant… Presse un flot écumant entre ses f… Lutèce, si petite au temps de tes…
Oh ! que ne suis-je un de ces homm… Qui, géants d’un siècle effacé, Jusque dans le siècle où nous somm… Règnent du fond de leur passé ! Que ne suis-je, prince ou poète,
Sara, belle d’indolence, Se balance Dans un hamac, au-dessus Du bassin d’une fontaine Toute pleine
Ceux qui vivent, ce sont ceux qui… Ceux dont un dessein ferme emplit… Ceux qui d’un haut. destin graviss… Ceux qui marchent pensifs, épris d… Ayant devant les yeux sans cesse,…
Les paupières des fleurs, de larme… Ces visages brumeux qui, le soir,… Dessinent les vapeurs qui vont se… Ces profils dont l’ébauche apparaî… Ces yeux mystérieux ouverts sur le…
Contempler dans son bain sans voil… Une fille aux yeux innocents ; Suivre de loin de blanches voiles… Voir au ciel briller les étoiles Et sous l’herbe les vers luisants…
Jouissez du repos que vous donne l… Vous étiez autrefois des coeurs tr… Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la h… Vos bouches, d’où sortait la vapeu…
Qui do… Victor HUGO. Dans vos fêtes d’hiver, riches, he… Quand le bal tournoyant de ses feu… Quand partout à l’entour de vos pa…
L’amour, panique De la raison, Se communique Par le frisson. Laissez-moi dire,
Jean Sévère était fort ivre. Ô barrière ! ô lieu divin Où Surène nous délivre Avec l’azur de son vin ! Un faune habitant d’un antre,
Le plus haut attentat que puisse f… C’est de lier la France ou de gar… C’est, quel que soit le lieu, le p… D’ôter l’âme à chacun, à tous la l… Dans la curie auguste entrer avec…