"Les rayons et les ombres (1840)" Le 18 juillet 1838.
#ÉcrivainsFrançais
Sur la terre, tantôt sable, tantôt… L’un à l’autre liés en longue cara… Echangeant leur pensée en confuses… Emmenant avec eux les lois, les fa… Les esprits, voyageurs éternels, s…
Le prê… Lorsque les saints flambeaux pour… Et de leurs longs cheveux voilant… Les jeunes filles pleureront. <…
VIII. Quand elle prie, un ange est debou… Caressant ses cheveux des plumes d… Essuyant d’un baiser son oeil de p… Venu pour l’écouter sans que l’enf…
Puisqu’ici-bas toute âme Donne à quelqu’un Sa musique, sa flamme, Ou son parfum ; Puisqu’ici toute chose
Ce qu’on appelle Charte ou Consti… C’est un antre qu’un peuple en rév… Creuse dans le granit, abri sûr et… Joyeux, le peuple enferme en cette… Ses conquêtes, ses droits, payés d…
Parfois, je me sens pris d’horreur… Mon vers semble la bouche ouverte… J’ai le farouche émoi Que donne l’ouragan monstrueux au… Mon cœur prend feu ; je sens tout…
Je vis cette faucheuse. Elle étai… Elle allait à grands pas moissonna… Noir squelette laissant passer le… Dans l’ombre où l’on dirait que to… L’homme suivait des yeux les lueur…
… Les plus sacrés, La Mort vient enlever le jeune ho… Et le Malheur s’approche comme un… Au milieu des jours de fête.
Le brouillard est froid, la bruyèr… Les troupeaux de boeufs vont aux a… La lune, sortant des nuages noirs, Semble une clarté qui vient par su… Je ne sais plus quand, je ne sais…
La philosophie ose escalader le ci… Triste, elle est là. Qui donc t’a… Oh ! Quel monceau d’efforts sans… De songes, de leçons, de dogmes, d… Ruche qu’emplit de bruit et de tro…
Que devant les coquins l’honnête h… Que l’histoire soit laide et plate… Boîte avec Talleyrand ou louche a… Qu’un tour d’escroc bien fait ait… Que le pape en massue ait changé s…
Les étoiles, points d’or, percent… Le flot huileux et lourd décompose… Sur l’océan blêmi ; Les nuages ont l’air d’oiseaux pre… Par moments le vent parle, et dit…
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
À qui donc le grand ciel sombre Jette-t-il ses astres d’or ? Pluie éclatante de l’ombre, Ils tombent...?—Encor ! encor ! Encor !—lueurs éloignées,
Rien encore n’a germé de vos ramea… Sur notre jeune terre où, depuis q… Tant d’âmes se sont échouées, Doctrines aux fruits d’or, espoir… Que la hâtive main des révolutions