"Dernière Gerbe (Posthume, 1902)"
#ÉcrivainsFrançais
Ô drapeau de Wagram ! ô pays de V… Puissance, liberté, vieil honneur… Principes, droits, pensée, ils fon… De toute cette gloire un vaste aba… Toute leur confiance est dans leur…
Un jour, Dieu sur sa table Jouait avec le diable Du genre humain haï. Chacun tenait sa carte L’un jouait Bonaparte,
Denise, ton mari, notre vieux péda… Se promène ; il s’en va troubler l… Du bel adolescent Avril dans la f… Tout tremble et tout devient pédan… L’âne bougonne un thème au boeuf s…
L’humble chambre a l’air de sourir… Un bouquet orne un vieux bahut ; Cet intérieur ferait dire Aux prêtres : Paix ! aux femmes :… Au fond une alcôve se creuse.
Ce siècle a la forme D’un monstrueux char. Sa croissance énorme Sous un nain césar, Son air de prodige,
Il faut que le poète, épris d’ombr… Esprit doux et splendide, au rayon… Qui marche devant tous, éclairant… Chanteur mystérieux qu’en tressail… Les femmes, les songeurs, les sage…
VIII. Quand elle prie, un ange est debou… Caressant ses cheveux des plumes d… Essuyant d’un baiser son oeil de p… Venu pour l’écouter sans que l’enf…
Oh ! les charmants oiseaux joyeux… Comme ils maraudent ! comme ils pi… Où va ce tas de petits gueux Que tous les souffles éparpillent… Ils s’en vont au clair firmament ;
Si je n’étais captive, J’aimerais ce pays, Et cette mer plaintive, Et ces champs de maïs, Et ces astres sans nombre,
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
J’ai vu ton ami, j’ai vu ton amie… Mérante et Rosa ; vous n’étiez po… Fils, ils ont produit une épidémie De baisers parmi les nids de mon b… Ils étaient contents, le diable m’…
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
Hélas ! que fais-tu donc, ô Rabbe… Sévère historien dans la tombe end… Je l’ai pensé souvent dans mes heu… Seul près de mon flambeau qui raya… Ô noble ami, pareil aux hommes d’a…
Ô toi qui dans mon âme vibres, Ô mon cher esprit familier, Les espaces sont clairs et libres… J’y consens, défais ton collier, Mêle les dieux, confonds les style…
—Qu’es-tu, passant ? Le bois est… Les corbeaux volent en grand nombr… Il va pleuvoir. —Je suis celui qui va dans l’ombre… Le Chasseur Noir !