"Dernière Gerbe (Posthume, 1902)"
#ÉcrivainsFrançais
Oui, mon vers croit pouvoir, sans… Prendre à la prose un peu de son a… André, c’est vrai, je ris quelquef… Voici pourquoi, tout jeune encor,… Dans le livre effrayant des forêts…
Il sied de ressembler aux dieux.… Dévore ses enfants ; ton Dieu, ma… Augure, ton Dieu ment ; uléma, to… La terre sous le sabre impur de M… Ton Dieu, Rome, est l’agneau, mai…
Oh ! Paris est la cité mère ! Paris est le lieu solennel Où le tourbillon éphémère Tourne sur un centre éternel ! Paris ! feu sombre ou pure étoile…
Sur des livres où rien n’était écr… Quatre hommes méditaient quand mou… Tournés au nord, au sud, au coucha… Ces hommes se nommaient Luc, Jean… Pendant que sur leur noir registre
Elle passa, je crois qu’elle m’ava… C’était une grisette ou bien une h… Je ne sais si l’effet fut moral ou… Mais son pas en marchant faisait u… Quoi ! Ton pavé bruyant et fangeu…
Ô Georges, tu seras un homme.—Tu… A qui tu dois ton coeur, à qui tu… Ce que ta voix doit dire au peuple… Et je t’écouterai dans ma tombe pr… Songe que je suis là ; songe que j…
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Nain qui me railles, Gnome aperçu Dans les broussailles, Ailé, bossu ; Face moisie,
Ce livre errant qui va l’aile bris… Et que le vent jette à votre crois… Comme un grêlon à tous les murs co… Hélas ! il sort des tempêtes publi… Le froid, la pluie, et mille éclai…
Quand la marquise était avec le ro… Avant l’invention d’Esther par Ma… Afin que chez Vasti Sa Majesté r… Il fallait mieux qu’un prince et p… Il fallait, pour conduire Alcandr…
Quel beau lieu ! Là le cèdre avec… L’âne est Iyrique et semble avoir… Le tigre en cage a l’air d’un roi… Les pachydermes sont effroyablemen… Et puis c’est littéraire, on rêve…
Hélas ! que j’en ai vu mourir de j… C’est le destin. Il faut une proi… Il faut que l’herbe tombe au tranc… Il faut que dans le bal les folâtr… Foulent des roses sous leurs pas.
Par votre ange envolée ainsi qu’un… Par ce royal enfant, doux et frêle… Grâce encore une fois ! grâce au n… Grâce au nom du berceau !
Lorsque j’étais encore un tout jeu… Et que j’allais entrer dans la lic… Sombre arène où plus d’un avant mo… L’âpre Muse aux regards mystérieu… —Tu pars ; mais quand le Cid se m…