"Dernière Gerbe (Posthume, 1902)"
#ÉcrivainsFrançais
Oh ! vous dont le travail est joie… Vous qui n’avez pas d’autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembr… Vous qui dérobez aux fleurs l’ambr…
Millions, millions, et millions d’… Je suis, dans l’ombre affreuse et… La splendide forêt des constellati… C’est moi qui suis l’amas des yeux… L’épaisseur inouïe et morne des lu…
Elle fait au milieu du jour son pe… Car l’enfant a besoin du rêve plus… Cette terre est si laide alors qu’… L’enfant cherche à revoir Chérubi… Ses camarades, Puck, Titania, les…
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
Les nuages volaient dans la lueur… Noir troupeau que le vent lugubre… Et dans la profondeur blême au-des… Si bas que tout mon être en haleta… J’aperçus un sommet par une déchir…
Quand avec celle qu’on enlève, Joyeux, on s’est enfui si loin, Si haut, qu’au-dessus de son rêve On n’a plus que Dieu, doux témoin… Quand, sous un dais de fleurs sans…
Je respire où tu palpites, Tu sais ; à quoi bon, hélas ! Rester là si tu me quittes, Et vivre si tu t’en vas ? A quoi bon vivre, étant l’ombre
Un jour Ali passait : les têtes l… Se courbaient au niveau des pieds… Tout le peuple disait : Allah ! Un derviche soudain, cassé par l’â… Fendit la foule, prit son cheval p…
La conscience humaine est morte ;… Sur elle il s’accroupit ; ce cadav… Par moments, gai, vainqueur, la pr… Il se retourne et donne à la morte… La prostitution du juge est la res…
Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…
VIII. Quand elle prie, un ange est debou… Caressant ses cheveux des plumes d… Essuyant d’un baiser son oeil de p… Venu pour l’écouter sans que l’enf…
Des sabres sont partout posés sur… L’autel ment. On entend ceux qu’o… Jurer, d’un front tranquille et sa… De faux serpents qui font, tant il… Tant ils sont monstrueux, effroyab…
Chantez ; l’ardent refrain flamboi… Jurez même, noble ou vilain ! Le chant est un verre de joie Dont le juron est le trop-plein. L’homme est heureux sous la tonnel…
Voyons, d’où vient le verbe ? Et… De qui tiens-tu les mots dont tu f… Écriture, Alphabet, d’où tout cela… Réponds. Platon voit l’I sortir de l’air s…
Ô temps miraculeux ! ô gaîtés homé… Ô rires de l’Europe et des deux A… Croûtes qui larmoyez ! bons dieux… Qui saignez dans vos coins ! madon… Phénomènes vivants ! ô choses inou…