Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Courtisans ! attablés dans la sple… La bouche par le rire et la soif é… Vous célébrez César, très bon, tr… Vous buvez, apostats à tout ce qu’… Le chypre à pleine coupe et la hon…
L’épanouissement, c’est la loi du… Il a fait la beauté, l’amour et le… Il veut la fleur dans la broussail… Son âme immense, à qui l’aube sert… Vibre à l’anxiété du moindre mouch…
Par-dessus l’horizon aux collines… Le soleil, cette fleur des splende… Se penchait sur la terre à l’heure… Une humble marguerite, éclose au b… Sur un mur gris, croulant parmi l’…
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,
Quand l’empire romain tomba désesp… —Car, ô Rome, l’abîme où Carthage… Attendait que tu la suivisses !— Quand, n’ayant rien en lui de gran… Ce monde agonisa, triste, ayant ép…
Il lui disait : « Vois-tu, si tou… L’âme pleine de foi, le coeur plei… Ivres de douce extase et de mélanc… Rompre les mille noeuds dont la vi… Si nous pouvions quitter ce Paris…
C’était en juin, j’étais à Bruxel… Savez-vous ce que fait maintenant… Et l’on me raconta le meurtre juri… Charlet assassiné sur la place pub… Cirasse, Cuisinier, tous ces info…
Amis, mes deux amis, mon peintre,… Vous me manquez toujours, et mon â… Vous redemande ici. Des deux amis, si chers à ma lyre… Pas un ne m’est resté. Je t’en ve…
J’errais. Que de charmantes chose… Il avait plu ; j’étais crotté ; Mais puisque j’ai vu tant de roses… Je dois dire la vérité. J’arrivai tout près d’une église,
Certes, une telle mort, ignorée ou… N’importe pas au siècle, et rien n… On n’en parle pas même et l’on pas… Mais lorsque, grandissant sous le… L’aveugle suicide étend son aile s…
La lune était sereine et jouait su… La fenêtre enfin libre est ouverte… La sultane regarde, et la mer qui… Là-bas, d’un flot d’argent brode l… De ses doigts en vibrant s’échappe…
Vents, souffles du zénith obscur e… N’éveillerez-vous pas quelque imme… Là-haut, dans le ciel sombre, en f… Puisque deux nations vont en venir… Parce que les deux rois se sont pr…
Jeanne parle ; elle dit des choses… Elle envoie à la mer qui gronde, a… À la nuée, aux fleurs, aux nids, a… À l’immense nature un doux gazouil… Tout un discours, profond peut-êtr…
C’est la nuit ; la nuit noire, ass… L’ombre immense élargit ses ailes… Dans vos joyeux palais gardés par… Dans vos lits de velours, de damas… Sous vos chauds couvre-pieds de ma…
Elle me dit, un soir, en souriant… —Ami, pourquoi contemplez—vous san… Le jour qui fuit, ou l’ombre qui s… Ou l’astre d’or qui monte à l’orie… Que font vos yeux là-haut ? je les…