Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Le soleil s’est couché ce soir dan… Demain viendra l’orage, et le soir… Puis l’aube, et ses clartés de vap… Puis les nuits, puis les jours, pa… Tous ces jours passeront ; ils pas…
Ne me plains pas, me dit l’arbre, Autrefois, autour de moi, C’est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière
« Qui de nous, en posant une urne… N’a trouvé quelque ami pleurant su… Autour du froid tombeau d’une épou… Qui de nous n’a mené le deuil ? » —Ainsi sur les malheurs de la Fra…
Je ne te cache pas que j’aime auss… Cela t’amuse et moi cela m’instrui… Que ce n’est pas pour rien qu’en c… Dieu met le clair-obscur des grand… Je suis le curieux qui, né pour cr…
Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
Hier, la nuit d’été, qui nous prêt… Etait digne de toi, tant elle avai… Tant son calme était frais ! tant… Tant elle éteignait bien ses rumeu… Tant elle répandait d’amoureuses r…
Sa grandeur éblouit l’histoire. Quinze ans, il fut Le dieu que traînait la victoire Sur un affût ; L’Europe sous la loi guerrière
Par ses propres fureurs le Maudit… Dans le démon vainqueur on voit l’… L’anathème éternel, qui poursuit s… Dans ses succès même est écrit. Il est, lorsque des cieux nous oub…
Il n’avait pas vingt ans. Il avai… De tout ce qui peut être aimé, sou… Il avait tout terni sous ses mains… Les blêmes voluptés sur sa trace a… Sortaient, pour l’appeler, de leur…
Comme leurs yeux troublés de senti… Se baissaient devant lui, Il dit : « Allez en paix ! allez… Vous qui m’avez trahi ! Vivez, et que jamais sous vos pas…
Mon âme est faite ainsi que jamais… Ni l’homme, quels qu’ils soient, n… Toujours mon cœur, qui n’a ni bibl… Dédaigna le sophiste et brava le t… Je suis sans épouvante étant sans…
Souvent, quand mon esprit riche en… Flotte et roule endormi sur l’océa… Dieu, foyer du vrai jour qui ne lu… Mystérieux soleil dont l’âme est e… Le frappe d’un rayon, et, comme un…
Si l’on vous dit que l’art et que… C’est un flux éternel de banale am… Que c’est le bruit, la foule, atta… Ou d’un salon doré l’oisive fantai… Ou la rime en fuyant par la rime s…
III. Cet homme fait venir, à l’heure où… Paris dormant encor. Des généraux français portant la t… Sur l’épaulette d’or ;
Puisque j’ai mis ma lèvre à ta cou… Puisque j’ai dans tes mains posé m… Puisque j’ai respiré parfois la do… De ton âme, parfum dans l’ombre en… Puisqu’il me fut donné de t’entend…