Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Dans l’alcôve sombre, Près d’un humble autel, L’enfant dort à l’ombre Du lit maternel. Tandis qu’il repose,
La lune était sereine et jouait su… La fenêtre enfin libre est ouverte… La sultane regarde, et la mer qui… Là-bas, d’un flot d’argent brode l… De ses doigts en vibrant s’échappe…
Ô Dieu ! si vous avez la France s… Ne souffrez pas, Seigneur, ces lu… Ces trônes qu’on élève et qu’on br… Ces tristes libertés qu’on donne e… Ce noir torrent de lois, de passio…
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
Par ses propres fureurs le Maudit… Dans le démon vainqueur on voit l’… L’anathème éternel, qui poursuit s… Dans ses succès même est écrit. Il est, lorsque des cieux nous oub…
Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Il est dans l’atrium, le beau roue… La roue agile est blanche, et la q… La quenouille est d’ébène incrusté… Il est dans l’atrium sur un riche… Un ouvrier d’Egine a sculpté sur…
J’errais. Que de charmantes chose… Il avait plu ; j’étais crotté ; Mais puisque j’ai vu tant de roses… Je dois dire la vérité. J’arrivai tout près d’une église,
S’il est un charmant gazon Que le ciel arrose, Où brille en toute saison Quelque fleur éclose, Où l’on cueille à pleine main
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Prions ! voici l’ombre sereine. Vers toi, grand Dieu, nos yeux et… Ceux qui t’offrent ici leurs larme… Sont les plus douloureux parmi les… Ils ont le plus d’honneur ayant le…
La femelle ? elle est morte. Le mâle ? un chat l’emporte Et dévore ses os. Au doux nid qui frissonne Qui reviendra ? personne.
Je ne vois pas pourquoi je ferais… Que de rêver sous l’arbre où le ra… Les chars passent, j’entends grinc… Quand les filles s’en vont laver à… Elles prêtent l’oreille à ma chans…