Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
Oh ! sur des ailes, dans les nues Laissez-moi fuir ! laissez-moi fui… Loin des régions inconnues C’est assez rêver et languir ! Laissez-moi fuir vers d’autres mon…
Toujours, même en un désastre, Les yeux étaient éblouis, Le grand Louis, c’était l’astre ; Dieu, c’était le grand Louis. Bossuet était fort pleutre,
Ô peuple ! sous ce crâne où rien n… Sous l’auguste sourcil morose et v… Du tribun et du cénobite, Sous ce front dont un jour les rév… Feront en l’entr’ouvrant sortir le…
Donc, c’est moi qui suis l’ogre et… Dans ce chaos du siècle où votre c… J’ai foulé le bon goût et l’ancien… Sous mes pieds, et, hideux, j’ai d… Et l’ombre fut.—Voilà votre réqui…
Près du pêcheur qui ruisselle, Quand tous deux, au jour baissant, Nous errons dans la nacelle, Laissant chanter l’homme frêle Et gémir le flot puissant ;
« Amis et frères ! en présence de ce gouvernement infâme, négation de toute morale, obstacle à tout progrès social, en présence de ce gouvernement meurtri...
Des sabres sont partout posés sur… L’autel ment. On entend ceux qu’o… Jurer, d’un front tranquille et sa… De faux serpents qui font, tant il… Tant ils sont monstrueux, effroyab…
Prends garde à Marchangy. La pros… Est une ornière où geint le vieux… Tout autant que le vers, certes, l… À la juste cadence, au rhythme div… Pourvu que, sans singer le mètre,…
Quand d’une aube d’amour mon âme s… Quand je sens ma pensée, ô chaste… Loin du souffle glacé d’un vulgair… Eclore feuille à feuille au plus p… Je prends ton livre saint qu’un fe…
Mères en deuil, vos cris là-haut s… Dieu, qui tient dans sa main tous… Parfois au même nid rend la même c… O mères ! le berceau communique à… L’éternité contient plus d’un divi…
Une femme m’a dit ceci :– J’ai pr… Ma fille que j’avais au sein, tout… Criait, et j’avais peur qu’on n’en… Figurez-vous, c’était un enfant de… Elle n’avait pas plus de force qu’…
N’attendez pas de moi que je vais… Des raisons contre Dieu que je vo… La nuit meurt, l’hiver fuit ; main… Dans les champs, dans les bois, es… Je suis par le printemps vaguement…
Flebil… OVIDE. Oh ! pourquoi te cacher ? Tu pleu… Devant tes yeux rêveurs qui donc p… Quelle ombre flottait dans ton âme…
Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,