Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Belgrade et Semlin sont en guerre… Dans son lit, paisible naguère, Le vieillard Danube leur père S’éveille au bruit de leur canon. Il doute s’il rêve, il trésaille,
Je vis cette faucheuse. Elle étai… Elle allait à grands pas moissonna… Noir squelette laissant passer le… Dans l’ombre où l’on dirait que to… L’homme suivait des yeux les lueur…
J’étais seul près des flots, par u… Pas un nuage aux cieux, sur les me… Mes yeux plongeaient plus loin que… Et les bois, et les monts, et tout… Semblaient interroger dans un conf…
C’est la date choisie au fond de l… Prince ! il faut en finir,– cette… Viens, lève-toi ! flairant dans l’… Le dogue Liberté gronde et montre… Quoique mis par Carlier à la chaî…
Nous nous promenions parmi les déc… À Rozel-Tower, Et nous écoutions les paroles somb… Que disait la mer. L’énorme océan,—car nous entendîme…
Ainsi l’hôtel de ville illumine so… Le prince et les flambeaux, tout y… Ce soir va resplendir sur ce combl… Comme l’idée au front du poète sac… Mais cette fête, amis, n’est pas u…
La face de la bête est terrible ;… L’Ignoré, l’éternel problème éblo… Et ténébreux, que l’homme appelle… On a devant soi l’ombre informe, l… Et le joug, l’esclavage et la rébe…
Ce n’est pas à moi, ma colombe, De prier pour tous les mortels, Pour les vivants dont la foi tombe… Pour tous ceux qu’enferme la tombe… Cette racine des autels !
Mourir… Sans percer, sans fouler, sans pét… Ces bourreaux barbouilleurs de loi… André Chénier, Lambes. « Le vent chasse loin des campagne…
En ces temps-là c’était une ville… Au pouvoir des Anglais, maîtres d… Qui, du canon battue et de terreur… Disparaissait dans les éclairs. C’était une cité qu’ébranlait le t…
Quand tu me parles de gloire, Je souris amèrement. Cette voix que tu veux croire, Moi, je sais bien qu’elle ment. La gloire est vite abattue ;
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,
Je lisais Platon.—J’ouvris La porte de ma retraite, Et j’aperçus Lycoris C’est-à-dire Turlurette. Je n’avais pas dit encor
Une querelle. Pourquoi ? Mon Dieu, parce qu’on s’adore. À peine s’est-on dit Toi Que Vous se hâte d’éclore. Le coeur tire sur son noeud ;
Oui. Je comprends qu’on aille aux… Qu’on soit foule, qu’on brille aux… Qu’on fasse, amis, ce que vous fai… Et qu’on trouve cela joyeux ; Mais vivre seul sous les étoiles,