Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
Elle est gaie et pensive ; elle no… À tout ce qui reluit malgré de som… Aux bois pleins de rayons, aux nui… L’esprit en la voyant s’en va je n… Elle a tout ce qui peut rendre un…
Nous emmenions en esclavage Cent chrétiens, pêcheurs de corail… Nous recrutions pour le sérail Dans tous les moûtiers du rivage. En mer, les hardis écumeurs !
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
N’attendez pas de moi que je vais… Des raisons contre Dieu que je vo… La nuit meurt, l’hiver fuit ; main… Dans les champs, dans les bois, es… Je suis par le printemps vaguement…
Oui, duc, nous sommes beaux, et no… Dans les yeux, et l’esprit sur le… Car il faut bien que tout, même le… Bref, après avoir eu la fièvre et… Après avoir aimé fort peu, beaucou…
Retournons à l’école, ô mon vieux… Homme d’ivoire et d’or, descends d… Où depuis deux mille ans tes vers… Il paraît, vois-tu bien, ces chose… Mais c’est la vérité selon monsieu…
—Sentiers où l’herbe se balance, Vallons, coteaux, bois chevelus, Pourquoi ce deuil et ce silence ? —Celui qui venait ne vient plus. —Pourquoi personne à ta fenêtre,
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
Tandis qu’au loin des nuées, Qui semblent des paradis, Dans le bleu sont remuées, Je t’écoute, et tu me dis : « Quelle idée as-tu de l’homme,
Oh ! qui que vous soyez, jeune ou… Si jamais vous n’avez épié le pass… Le soir, d’un pas léger, d’un pas… D’un voile blanc qui glisse et fui… Et, comme un météore au sein des n…
Enfants ! fils des héros disparus… Qui firent mon pays plus grand que… Et qui s’en sont allés, dans l’abî… Vous que nous voyons rire et jouer… Sur vos fronts innocents la sombre…
Nous nous promenions parmi les déc… À Rozel-Tower, Et nous écoutions les paroles somb… Que disait la mer. L’énorme océan,—car nous entendîme…
A qui donc sommes-nous ? Qui nous… Vautour fatalité, tiens-tu la race… Oh ! parlez, cieux vermeils, L’âme sans fond tient-elle aux éto… Chaque rayon d’en haut est-il un f…
Ceux-ci partent, ceux-là demeurent… Sous le sombre aquilon, dont les m… Poussière et genre humain, tout s’… Hélas ! le même vent souffle, en l… Sur toutes les têtes des hommes,