#ÉcrivainsFrançais
Mais nous aimons ces puits qui vei… Car nous nous demandons qui vient… Dans les herbes barrées de ronces,… Par ces sortes de dômes que font l… Au-dessus des buissons, là où comm…
C’est la dernière neige de la sais… La neige de printemps, la plus hab… Avant qu’on ne l’emporte puis le b… C’est la première neige de ta vie Puisque, hier, ce n’étaient encore…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Je ne savais dormir sans toi, je n… Risquer sans toi les marches desce… Plus tard, j’ai découvert que c’es… Cette terre aux chemins qui tomben… Alors je t’ai voulue au chevet de…
Mais non, toujours D’un déploiement de l’aile de l’im… Tu t’éveilles, avec un cri, Du lieu, qui n’est qu’un rêve. Ta voix, soudain,
Il v avait qu’il fallait détruire… Il y avait que le salut n’est qu’à… Ruiner la lace nue qui monte dans… Marteler toute forme toute beauté. Aimer la perfection parce qu’elle…
L’enfant semblait errer au sommet… On ne comprenait pas son corps, en… D’un feu, d’une fumée, que la lumi… Trouait d’un coup, parfois, comme… Il montait, descendait un peu, il…
Les étoiles voûtaient les murs du… Comme les fruits de l’arbre au-del… Du lieu mortel portaient dans l’éc… Comme une ombre d’étrave et comme… Etoiles et vous, craies d’un pur c…
Écoute, il ne faut plus ces mains… Comme éternellement l’écume et le… Et même plus ces yeux qui se tourn… Aimant mieux le sommeil encore par… Il ne faut plus tenter d’unir voix…
Ici l’inquiète voix consent d’aime… La pierre simple. Les dalles que le temps asservit e… L’olivier dont la force a goût de… Le pas dans son vrai lieu.
Ce souvenir me hante, que le vent… D’un coup, là-bas, sur la maison f… C’est un grand bruit de toile par… On dirait que l’étoffe de la coule… Vient de se déchirer jusqu’au fond…
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit