#ÉcrivainsFrançais
Quelle parole a surgi près de moi, Quel cri se fait sur une bouche ab… A peine si j’entends crier contre… A peine si je sens ce souffle qui… Pourtant ce cri sur moi vient de m…
Es-tu venu par besoin de ce lieu, De ce lieu seul, ravin, porte dres… Au-dessus du levant et du couchant Comme passe la barque d’un autre m… Entre, je te permets presque une h…
Dragué fut le regard hors de cette… Immobilisées et séchées les mains. On a réconcilié la fièvre. On a dit au coeur D’être le cceur.
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Tu demandes le nom De cette maison basse délabrée. C’est Jean et Jeanne en un autre pays
Veilleuse de la nuit de janvier su… Comme nous avions dit que tout ne… J’entendais plus avant dans une om… Un pas de chaque soir qui descend… Ce que je tiens serré n’est peut-ê…
Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
Il rêva qu’il ouvrait les yeux, su… Qui approchaient du port, silencie… Encore, feux éteints ; mais doublé… D’une ombre où foisonnait la futur… Puis il se réveilla.
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Les étoiles voûtaient les murs du… Comme les fruits de l’arbre au-del… Du lieu mortel portaient dans l’éc… Comme une ombre d’étrave et comme… Etoiles et vous, craies d’un pur c…
La foudre– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha…