#ÉcrivainsFrançais
Il rêva qu’il ouvrait les yeux, su… Qui approchaient du port, silencie… Encore, feux éteints ; mais doublé… D’une ombre où foisonnait la futur… Puis il se réveilla.
Le bruit des voix s’est tu, qui te… Tu es seul dans l’enclos des barqu… Marches-tu sur ce sol qui bouge, m… Un autre chant que cette eau grise… Un autre espoir que ce départ que…
L’étoile sur le seuil. Le vent, tenu Dans des mains immobiles. La parole et le vent furent de lon… Et puis ce fut d’un coup ce silenc…
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…
Phénix parlant au feu, qui est des… Et paysage clair jetant ses ombres… Je suis celui que tu attends, dit-… Je viens me perdre en ton grave pa… Il regarde le feu.
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Tu me dis que tu aimes le mot ronc… Et j’ai là l’occasion de te parler… Sentant revivre en toi sans que tu… Encore, cette ardeur qui fut toute… Mais je ne puis rien te répondre :…
Heurte, Heurte à jamais. Dans le leurre du seuil. A la porte, scellée. A la phrase, vide.
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Close la bouche et lavé le visage, Purifié le corps, enseveli Ce destin éclairant dans la terre… Et le mariage le plus bas s’est ac… Tue cette voix qui criait à ma fac…
Tu as été sculptée à une proue, Le temps t’a corrodée comme eût fa… Il a fermé tes yeux une nuit d’ora… Il a taché de sel ton sein presque… O sainte aux mains brûlées que rec…
Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…