#ÉcrivainsFrançais
Regarde-les là-bas, à ce carrefour… Qui semblent hésiter puis qui repa… L’enfant court devant eux, ils ont… En de grandes brassées pour les qu… Ces fleurs d’à travers champs qui…
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…
Les étoiles voûtaient les murs du… Comme les fruits de l’arbre au-del… Du lieu mortel portaient dans l’éc… Comme une ombre d’étrave et comme… Etoiles et vous, craies d’un pur c…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…
Je « rie. Regarde, La lumière Vivait là, près de nous ! Ici, sa provision
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau
Je te voyais courir sur des terrasses, Je te voyais lutter contre le vent, Le froid saignait sur tes lèvres. L’été vieillissant te gerçait d’un plaisir monotone, nous méprisions l’ivres...
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
Visage séparé de ses branches prem… Beauté loute d’alarme par ciel bas… En quel àtre dresser le feu de ton… O Ménade saisie jetée la tête en bas…
Mais non, toujours D’un déploiement de l’aile de l’im… Tu t’éveilles, avec un cri, Du lieu, qui n’est qu’un rêve. Ta voix, soudain,
Ici, dans le lieu clair. Ce n’est plus l’aube, C’est déjà la journée aux dicibles… Des mirages d’un chant dans ton rê… Que ce scintillement de pierres à…
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
L’orante est seule dans la salle b… Sa robe a la couleur de l’attente… Et c’est le bleu le plus éteint qu… L’enfance est seule, et ceux qui v… Ils se penchent avec des lampes su…