#ÉcrivainsFrançais
Nous sommes revenus à notre origin… Ce fut le lieu de l’évidence, mais… Les fenêtres mêlaient trop de lumi… Les escaliers gravissaient trop d’… Qui sont des arches qui s’effondre…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Le pays du début d’octobre n’avait… Qui ne se déchirât dans l’herbe, e… En venaient à des cris d’absence e… Sur un haut flanc courbé qui se hâ… Ma parole du soir,
Le mot ronce, dis-tu ? Je me souviens De ces barques échouées dans le va… Que traînent les enfants les matin… Avec des cris de joie dans les fla…
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit
Que le faut-il, voix qui reprends,… la sève De l’olivier que glaça l’autre hiv… Le temps divin qu’il faut pour emp… Oui, rien qu’aimer ce temps désert…
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
L’aube passe le seuil, le vent s’e… Le feu s’est retiré dans la laure… Terre des bouches froides, ô crian… Le plus vieux deuil par tes secrèt… L’aube va refleurir sur tes yeux d…
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Je passais près du feu dans la sal… Aux volets clos, aux lumières étei… Et je vis qu’il brûlait encore, et… En cet instant à ce point d’équili… Entre les forces de la cendre, de…
Ici l’inquiète voix consent d’aime… La pierre simple. Les dalles que le temps asservit e… L’olivier dont la force a goût de… Le pas dans son vrai lieu.
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Je sors, Il y a des milliers de pierres dan… J’entends De toute part le bruit de la nuit… Est-il vrai, mes amis,