#ÉcrivainsFrançais
L’oiseau se portera au-devant de n… Une épaule de sang pour lui se dre… Il fermera joyeux ses ailes sur le… De cet arbre ton corps que tu lui… Il chantera longtemps s’éloignant…
Ici l’inquiète voix consent d’aime… La pierre simple. Les dalles que le temps asservit e… L’olivier dont la force a goût de… Le pas dans son vrai lieu.
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…
Le ciel trop bas pour toi se déchi… Envahissaient l’espace de ton sang… Ainsi d’autres armées sont venues,… Cassandre, Et rien n’a pu survivre à leur emb…
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Heurte, Heurte à jamais. Dans le leurre du seuil. A la porte, scellée. A la phrase, vide.
Et venais-tu pour la nuque ployée Là-haut, dans cette chambre, non,… D’orage, et cette main dans la tie… D’espoir, de joie, puis relever le… Vers la cime parfaite des montagne…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
Je sors, Il y a des milliers de pierres dan… J’entends De toute part le bruit de la nuit… Est-il vrai, mes amis,
L’été passa violent dans les salle… Ses yeux étaient aveugles, son fla… Il cria, et l’appel bouleversa le… De ceux qui dormaient là au simple… Ils frémirent.
Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.
Les lampes de la nuit passée, dans… Brûlent-elles enror, et dans quel… C’est le soir, où l’arbre s’aggrav… L’étoile a précédé le frêle feu mo… Andiam. compagne belle, astres, de…
UNE VOIX Tu fus sage d’ouvrir, il vint à la… UNE AUTRE VOIX La première venue en forme d’oisea… UNE voix
Il a plu, cette nuit. Le chemin a l’odeur de l’herbe mou… Puis, à nouveau, la main de la cha… Sur notre épaule, comme Pour dire que le temps ne va rien…
On dit qu’un dieu chercha Sur les eaux closes Comme un rapace veut Sa proie lointaine Et d’un cri répété,