Romances (1830)
#FemmesÉcrivains #LesPoètesMaudits #XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Vous aviez mon coeur, Moi, j’avais le vôtre : Un coeur pour un coeur ; Bonheur pour bonheur ! Le vôtre est rendu,
Elle avait fui de mon âme offensée… Bien loin de moi je crus l’avoir c… Toute tremblante, un jour, elle ar… Sa douce image, et dans mon cœur r… Point n’eus le temps de me mettre…
Horloge d’où s’élançait l’heure Vibrante en passant dans l’or pur, Comme l’oiseau qui chante ou pleur… Dans un arbre où son nid est sûr, Ton haleine égale et sonore
Cache-les dans ton cœur, toi dont… Ces bouquets imprudents qui fleuri… C’est toute une âme en fleur qui s… Aux autres, je l’entr’ouvre : à to…
Rive enchantée, Berceau de mes amours ; Onde argentée, Image des beaux jours ; Que ton cours est limpide !
Quand le fil de ma vie (hélas ! il… Tombera du fuseau qui le retient e… Quand ton nom, mêlé dans mon sort, Ne se nourrira plus de ma mourante… Quand une main fidèle aura senti m…
De Thalie, Plus jolie, Quand Mars enchante les jeux, Cette Muse Qui s’amuse
À Mademoiselle Louise Crombach… Vous le saurez ! La vie a des abî… Cachés au loin sous d’innombrables… Les rossignols qui chantent à leur… Où chantent-ils dans la saison des…
À Madame Desloges, née Leurs.<… Dans l’enclos d’un jardin gardé pa… J’ai vu naître vos fleurs avant vo… Beau jardin, si rempli d’oeillets… Que de le regarder on n’était jama…
T’ai-je vu chez mon père, Dans l’âge où tout est beau, Comme je dois, j’espère, Te voir près du tombeau ? Sur les bords de ma vie
Il fallait la laisser, solitaire e… S’abreuver de prière et d’indigent… Si peu lui semblait tout ; misère… Sédentaire à l’église et bornée à… Il fallait la laisser au long trav…
C’était l’hiver, et la nature enti… Portait son deuil et redoublait le… Je regagnais à pas lents ma chaumi… Les yeux fixés sur celle de Julie… Un voile noir s’étendit sur la pla…
L’eau nous sépare, écoute bien : Si tu fais un pas, tu n’as rien. Voici ma plus belle ceinture, Elle embaume encor de mes fleurs. Prends les parfums et les couleurs…
À Mademoiselle Zoé Dessaix.… Pour que tu sois de Dieu l’aimée, La plante toujours parfumée, Et colombe au vol triomphant Nommée,
Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S’accorde à mon désir ? Comme je t’aime en mes beaux jours…