"Sagesse (1881)"
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QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Je devine, à travers un murmure, Le contour subtil des voix ancienn… Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon coeur en délires
Son bras droit, dans un geste aima… Repose autour du cou de la petite… Et son bras gauche suit le rythme… A coup sûr une idée agréable l’occ… Car ses yeux si francs, car sa bou…
Quand Marco passait, tous les jeu… Se penchaient pour voir ses yeux,… Où les feux d’Amour brûlaient san… Ta pauvre cahute, ô froide Amitié… Tout autour dansaient des parfums…
Cruel Hérode, noir Péché, De tes sept glaives tu poursuis Les innocents, lesquels je suis Dans mes cinq sens,—et, qu’empêché Me voici pour, las ! me défendre !
Les hauts talons luttaient avec le… En sorte que, selon le terrain et… Parfois luisaient des bas de jambe… Interceptés !– et nous aimions ce… Parfois aussi le dard d’un insecte…
« Esprit-Saint, descendez en » ce… Qui raillent l’antique cantique Où les simples mettent leurs vœux Sur la plus naïve musique. Versez les sept dons de la foi,
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Je crois ce que l’Église catholiqu… M’enseigna dès l’âge d’entendement… Que Dieu le Père est le fauteur u… Et le régulateur absolument De toute chose invisible et visibl…
(En lui envoyant « Sagesse ») Nul parmi vos flatteurs d’aujourd’… Mieux que moi la fierté d’admirer… Votre nom m’enivrait comme un nom… Votre œuvre, je l’aimais d’un amou…
Léandre le sot, Pierrot qui d’un saut De puce Franchit le buisson, Cassandre sous son
L’hiver a cessé : la lumière est t… Et danse, du sol au firmament clai… Il faut que le cœur le plus triste… À l’immense joie éparse dans l’air… Même ce Paris maussade et malade
Ami, le temps n’est plus des guita… Des créanciers, des duels hilares… De rien, des cabarets, des pipes a… Et de cette gaîté banale où nous n… Voici venir, ami très tendre qui t…
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…