"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Le bruit des cabarets, la fange du… Les platanes déchus s’effeuillant… L’omnibus, ouragan de ferraille et… Qui grince, mal assis entre ses qu… Et roule ses yeux verts et rouges…
(En lui envoyant « Sagesse ») Nul parmi vos flatteurs d’aujourd’… Mieux que moi la fierté d’admirer… Votre nom m’enivrait comme un nom… Votre œuvre, je l’aimais d’un amou…
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
Voulant te fuir (fuir ses amours ! Mais un poète est bête), J’ai pris, l’un de ces derniers jo… La poudre d’escampette. Qui fut penaud, qui fut nigaud
Vers les prés le vent cherche nois… Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d’ardoise, Vers les prés clairs, les prés san…
Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Et la blessure est encore vibrante… Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Ô mon Dieu, votre crainte m’a frap… Et la brûlure est encor là qui ton…
« Quand je cause avec toi paisible… Ce m’est vraiment charmant, tu cau… Quand je dispute et te fais des re… Tu disputes, c’est drôle, et me fa… S’il m’arrive, hélas ! d’un peu te…
L’amitié, mais entre homme et femm… Elle n’empêche rien, aussi bien de… Nécessaires, et sous les mieux séa… Abrite les secrets aimables qu’on… Nous mettrions chacun du nôtre, el…
Seul bijou de ma pauvreté. Ton mince argent, ta perle fausse (En tout quatre francs), ont tenté Quelqu’un dont l’esprit ne se haus… Parmi ces paysans cafards
Vous fûtes conçue immaculée, Ainsi l’Église l’a constaté Pour faire notre âme consolée Et notre fois plus fort conseillée… Et notre esprit plus ferme et band…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Voix de Gabriel Chez l’humble Marie, Cloches de Noël, Dans la nuit fleurie, Siècles, célébrez
Au pays de mon père on voit des bo… Là des loups font parfois luire le… Et la myrtile est noire au pied du… Noire de profondeur, sur l’étang d… Sous la bise soufflant balsamiquem…
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
Les longs rideaux de blanche mouss… Que la lueur pâle de la veilleuse Fait fluer comme une vague opaline Dans l’ombre mollement mystérieuse… Les grands rideaux du grand lit d’…