"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Parsifal a vaincu les Filles, leu… Babil et la luxure amusante—et sa… Vers la Chair de garçon vierge qu… D’aimer les seins légers et ce gen… Il a vaincu la Femme belle, au cœ…
Les morts que l’on fait saigner da… Se vengent toujours. Ils ont leur manière, et plaignez… Sous leurs grands coups sourds. Mieux vaut n’avoir jamais connu la…
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
Ce n’est pas de ces dieux foudroyé… Ce n’est pas encore une infortune Poétique autant qu’inopportune, Lecteur de bon sens, ne fuyez ! On sait trop tout le prix du malhe…
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…
C’est plutôt le sabbat du second… Un rhythmique sabbat, rhythmique,… Rhythmique.—Imaginez un jardin de… Correct, ridicule et charmant. Des ronds-points ; au milieu, des…
Et j’ai revu l’enfant unique : il… Que s’ouvrait dans mon coeur– la d… Celle dont la douleur plus exquise… D’une mort désirable en un jour co… La bonne flèche aiguë et sa fraîch…
Puisque l’aube grandit, puisque vo… Puisque, après m’avoir fui longtem… Revoler devers moi qui l’appelle e… Puisque tout ce bonheur veut bien… C’en est fait à présent des funest…
Je vois un groupe sur la mer. Quelle mer ? Celle de mes larmes. Mes yeux mouillés du vent amer Dans cette nuit d’ombre et d’alarm… Sont deux étoiles sur la mer.
C’est la fête du blé, c’est la fêt… Aux chers lieux d’autrefois revus… Tout bruit, la nature et l’homme,… De lumière si blanc que les ombres… L’or des pailles s’effondre au vol…
Vous vous êtes penché sur ma mélan… Non comme un indiscret, non comme… Et vous avez surpris la clef de ma… Tel un consolateur attentif et pie… Et vous avez ouvert doucement ma s…
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
Après le départ des cloches Au milieu du Gloria, Dès l’heure ordinaire des vêpres On consacre les Saintes Huiles Qu’escorte ensuite un long cortège
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…