Ce rusé Calabrais tout vice, quel… Chatouille à son ami, sans épargne… Et faisant rire ceux que même il é… Se joue autour du cœur de cil qui… Si donc quelque subtil en mes vers…
Poème gay vidéo-lu sur Viméo, htt… Dès le matin, lorsque l’Éthiopie s… la nuit s’endort, à l’ombre de la… C’est là que je t’ai vu, graine de… roulé comme un café dans sa toile…
Sonnet LXXXIX. Gordes, il m’est avis que je suis… Comme un qui tout ému d’un effroya… Se réveille en sursaut et par le l… S’émerveillant d’avoir si longtemp…
Je ne pouvais imaginer un chef aussi bienveillant Aussi attentionné et aussi patient Pourtant que vous le croyez ou non
L’autre matin, sous la fraîche cou… Le beau Colin, loin des regards j… S’imaginait trouver encore Lisett… Une heure au moins après le rendez… « Il est trop tard, lui dis-je, el…
Chantez ; l’ardent refrain flamboi… Jurez même, noble ou vilain ! Le chant est un verre de joie Dont le juron est le trop-plein. L’homme est heureux sous la tonnel…
Qui les a vus franchir la puissant… Comment de nos soldats ont-ils vai… Ces nombreux bataillons de guerrie… Jusqu’aux murs de Lyon comment so… Quoi ! déjà leurs coursiers s’abre…
Enfin j’ai cédé, je me plie Encor cette fois sous ta main. Ta volonté s’est accomplie : Me voilà hors de ton chemin. Pourtant, parce que trop docile
(Qu… Ce feu, quels torts a-t-il donc fa… À votre Laure, qui se fâche ? Plein de respect pour ses attraits… Il n’en veut qu’à ce qui les cache…
Ce brouillard de Paris est fade, On dirait même qu’il est clair Au prix de cette promenade Que l’on appelle Leicester Square Mais le brouillard de Londres est
Pour une bonne fois séparons-nous, Très chers messieurs et si belles… Assez comme cela d’épithalames, Et puis là, nos plaisirs furent tr… Nul remords, nul regret vrai, nul…
Et pourquoi pas la haie de geysers… sur les faîtes et entrefaîtes des… dans les hautes branches du soleil… secouant leurs cheveux de sel inte… vêtu d’étamines riches et calmes c…
Les brouillards sont venus, dont l… Charge dès le matin la plaine et l… Pâle et froide vapeur qu’à peine u… Les feuilles que l’eau trempe et q… Tourbillonnent dans l’air ; la bis…
Les corps humides s’amassent sur l… Les larmes souillent le sol de la… Dans laquelle ils ne reviendront s… Les lamentations ennuient les étoi… La musique soudainement se charge…
Fable XIV, Livre II. Dame Arachné dans un palais Se glissa sans être aperçue ; Sa toile n’était pas tissue Qu’en l’air étaient tous les balai…
(Épigramme.) Quand quelqu’un dit à une femme Qu’elle est prodigue du corps sien… Il est sot en la haute gamme ; Car ce qu’il dit ne sert de rien :
Le monde est tapissé de blanc ce matin et la ville est silencieuse. Le printemps est mis sous cloche et mes rêves se taisent. Comme toi. Chaque silence a sa mélodie et le tien est comme...
Personne pour toi. Tous sont d’ac… Nommé Gladstone, dit à tes bourre… Cet autre, nommé Grant, te conspu… Nommé Bancroft, t’outrage ; ici c… Là c’est un soldat, là c’est un ju…
Sur un groupe du Statuaire E.… Heureux qui, possédant la Chimère… Livre au Monstre divin un cœur en… Et savoure, pour mieux s’anéantir… L’extase de la mort et de la volup…
9. Fentanyl mon amour jusques à quand… Les roses sont fleuries les lilas… L’été rebique et toi non pourquoi… Autrefois la nature donnait de quo…
Solitude heureuse et champêtre, Séjour du repos le plus doux, La raison me ramène à vous ; Recevez enfin votre maître. Je suis libre ; j’échappe à ces so…
rightRome, villa Paolina. Non, tu ne connais pas encor Ce sentiment d’ivresse et de mélan… Qu’inspire d’un beau jour la splen… Toi qui n’as pas vu les flots d’or…
Tout est différent, et rien à chan… Tu sais, ce sentiment de sécurité… Ce renouveau pas si nouveau qui re… Cette envie d’explorer cette nouve… Ça doit être cette fameuse peur de…
Elle rime avec arc-en-ciel, un simple mot, son odeur qui s’attarde bouleverse… Ses yeux poussières d’étoiles, me murmure,
Le rythme séducteur nous appelle ;… Lui répondre en mes bras, jeune fi… Valsons légèrement de tous côtés c… Et qu’en nous la clameur des besoi… Pendant que nous serons ensemble,…
A tous les hommes que j’ai aimé, Ne vous faites pas d’illusions Il n’a jamais été question de vous Je n’ai aimé que vos manières, vos… Que pour la simple raison que je n…
Le secret de l’histoire secrète, est dans tous ces mots que je t’éc… depuis notre rencontre fortuite ou… Tous ces mots alignés pour une vérité sans pointiller.
Ô qu’il est beau cet esprit immort… Gardien sacré de notre destinée ! Des fleurs d’Eden sa tête est cou… Il resplendit de l’éclat éternel. Dès le berceau sa voix mystérieuse…
(Épigramme.) Si ôter je te pouvois, Une fois, Ce que je t’ai su apprendre, Tu me viendrois caresser,
Grand Dieu, par qui de rien toute… Jette les yeux sur nos besoins div… Romps ce fatal sommeil, par qui l’… Dort en repos sur le bord des Enf… Daigne, ô divin Sauveur, que notr…
x<… Aucune gloire désormais Ne vous sera donc étrangère ? Et vous savez faire la paix Comme vous avez fait la guerre !
Forêt profonde... Il fait si sombre... J’entends quelqu’un avec moi qui m… et qui fait des gestes, Quelle est cette ombre ?
Connais-tu ces épis sans grâce, Qui, dans une manche glissés, Par leurs poils revêches hissés, Grimpent d’autant plus qu’on les c… Tels sont, contredisant toujours
Dites-moi, bords féconds de l’anti… Voisins des flots amers, Ce que va demander, si loin de sa… Tout ce peuple à vos mers ? L’Alsace, dès longtemps, vaillant…
Je sais que je rencontrerai mon ombre, un jour, c’est notre destin. Je sais qu’un jour, la lumière s’éteindra pour nous et la gravité mortelle nous absorbera. Mais alors, sans espace et...
Du malheur de recevoir Un étranger, sans avoir De lui quelque connaissance, Tu as fait expérience, Ménélas, ayant reçu
Le bonheur est mélancolique. Le cri des plus joyeux oiseaux Paraît lointain comme de l’eau Où se noierait une musique. À l’œil qui s’en repaît longtemps
Une brise inconnue a passé sur la… La lyre lui répond par un lugubre… Et de vagues terreurs tout bas sem… C’est un souffle de mort ! Je vois sur l’Hélicon un long crê…
Je suis sur un petit nuage Lorsque ta douceur m’engloutit, Tes cheveux d’or m’ensevelissent, Et que ta voix m’anéantit Sous ton regard d’impératrice.
Vous qu’à mon côté ma barque balan… Regardez là-haut ce firmament bleu… Magnifique espace où l’âme s’élanc… Et monte en chantant jusqu’aux pie… Vous qu’à mon côté berce ma nacell…
Un soir, au temps du sombre équino… Où la mer forcenée et redoublant d… Se cambre et bat d’un lourd bélier… Nous étions dans un lieu qui domin… Heure trouble, entre l’ombre et le…
Revêtu de mes yeux jour de pluie ; l’eau coule sur mes cris, inonde mes fondations. J’homicide cette course vide avec un couteau
Deux heures après diner Il est temps de se reposer Ni mouvement aucun bruit Deux heures après midi Un chien prudent vient inspecter
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
Un sculpteur, qui vivait voilà bie… Fit pour le noir Pluton, qu’en le… Les ombres ont horreur de voir au… Ce temple, qu’aujourd’hui Dieu do… Le 17…
Il est doux d’obtenir l’estime ; Il est mieux de la mériter. Attends, sans la solliciter, Cette heure d’allégresse intime ; Et jusqu’à la mort, s’il le faut,
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction
Sonnet XLIX. Si après quarante ans de fidèle se… Que celui que je sers a fait en di… Employant, libéral, tout son plus… Aux affaires qui sont de plus dign…
FRAGMENT. 1604. . . . . . .… L’Orne comme autrefois nous rever… Ravis de ces pensers que le vulgai…
C’est fou de penser que j’ai connu… Des histoires passionnées, des émo… Mais jamais je n’ai pu poser mes y… Lui, l’homme discret, que je consi… Ça a été toujours lui, le meilleur…
Ô mes concitoyens, que notre histo… De quels récits brillants elle eni… Que de fois elle y va, par ses acc… D’un courage endormi réveiller l’é… Dans ses feuillets brûlants si l’œ…
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
La sainte vérité qui m’échauffe et… Écarte et foule aux pieds les voil… Ma muse de nos maux flétrira les a… Dussé-je voir briser ma lyre Par le glaive insolent de nos libé…
D’où vient ce tourment plein de ch… Qui trouble mon cœur abattu ? Je cherche, et je n’ai rien perdu… Mais pour qui donc coulent mes lar… Douleur que j’aime est avec moi ;
Vous souvient-il, cocodette un peu… Qui gobergez vos flemmes de bourge… Du temps joli quand, gamine un peu… Tu m’écoutais, blanc-bec fou qui d… Gardâtes-vous fidèle la mémoire,
Des flaques de fiel qui jaillissent dans mon cœur. J’ai changé de peau pour que tu puisses dormir. J’ai changé d’amis
7 les couleurs de l’arc-en-ciel, 7… 7 vies ont les chats Jusqu’à présent il est temps, tu l… Réunissons nos 14 orifices puis so…
Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…
Au fond de la chambre élégante Que parfuma son frôlement, Seule, immobile, elle dégante Ses longues mains, indolemment. Les globes chauds et mâts des lamp…
mais tant et tant vous dis-je que la production annuelle d’aucun cul n’aurait put décemment suffire à fournir à lui-seul pareille passion, l’œuvre ainsi se devait d’être vaine dès sa fo...