#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Maudit soit le père de l’épouse du forgeron qui forgea le fer de l… avec laquelle le bûcheron abattit… dans lequel on sculpta le lit
Si, comme aux vents désignés par l… Il est un sens à l’espace et au te… S’ils en ont un ils en ont mille e… Et tout autant s’ils n’en possèden… Or qui de nous n’imagine ou presse…
L’angle sous lequel... Et d’abord quel angle ? Je n’en veux pas connaître d’autre Que celui où j’appuie ma tête Quand je m’y colle à cache-cache.
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
La bague au doigt que vous m’aviez… Je ne sais si je dois si je dois p… Dans la ville de Lille Ils s’étaient séparés
Tu dis vrai quand tu dis qu’ils re… Au pays où l’on cache avec un élas… Que dénotent leurs crocs, que vald… Us se piquouseront, en gruingue, à… Mais tu te gourres si tu crois que…
A Pantin la verdure a pu traîner ses… Tas de branques farcis de bobards… A force de calter s’atigent leurs… Et, pour roter pardon, ils n’auron…
Tu me suicides, si docilement. Je te mourrai pourtant un jour. Je connaîtrons cette femme idéale et lentement je neigerai sur sa bo… Et je pleuvrai sans doute môme si…
L’aveugle tendit sa main à la rein… La reine lui tendit sa bouche Miracles vous vous flétrissez sur… On bâillonne mes amies à quoi bon parler le langage des y…
Crépuscule d’été baigné de brouill… Déchiré par le bleu des ardoises d… Le bleu du ciel, le bleu de l’asph… Saignant sur une vitre où des refl… Reflet de la rivière en le feuilla…
Sycomore effréné fameuse division du temps fleur dn silence animal ô rouge rouge et bleu rouge et jaune silice surgie du creux des mains des nuits et des plaines en de féroces exclamati...
L’étrange oiseau dans la cage aux… Je déclare que je suis le bûcheron… Un feu de Bengale inattendu a charmé ta paro… Quand je te quitte il rougit mes é…
Le pylône met du noir à ses yeux L’Olympe et le paradis et les for… C’est comme les vieilles ampoules… On suce maintenant la poésie au té… de ces seins homicides et lumineux
Visage de bois visage de bois Je pars en rêvant ô mon amour ô mon roi Viennent les Printemps
Le loup n’a plus les dents longues au temps des aubépines Les yeux lueurs de brasier Éclatantes étoiles Figures de lac et de torrent