Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbé… Berceuse du chaos où le néant osci… Guerre, ô guerre occupée au choc d… Toute pleine du bruit furieux des… Ô buveuse de sang, qui, farouche,…
Ces hommes qui mourront, foule abj… Sont de la boue avant d’être de la… Oui, certes, ils passeront et mour… Leur vue à l’honnête homme inspire… Envieux, consumés de rages puérile…
Ô femmes ! chastetés augustes ! fi… Pudeur, crainte sacrée entre toute… Farouche austérité du front pensif… Ô vous à qui je veux ne parler qu’… Dont la forme est si noble en notr…
Enfin, mort triomphant, il vit sa… Et l’océan rendit son cercueil à l… L’homme, depuis douze ans, sous le… Reposait, par l’exil et par la mor… En paix !—Quand on passait près d…
Quand tout se fait petit, femmes,… En vain, aux murs sanglants accroc… Ils ont ouvert le bal et la danse… Devant ces scélérats transformés e… Vous haussez,—châtiment !—vos char…
L’hirondelle au printemps cherche… Débris où n’est plus l’homme, où l… La fauvette en avril cherche, ô ma… La forêt sombre et fraîche et l’ép… La mousse, et, dans les noeuds des…
Matelots ! matelots ! vous déploie… Vous voguerez, joyeux parfois, mor… Et vous regarderez aux lueurs des… La rive, écueil ou port, selon le… Envieux, vous mordrez la base des…
Ami, j’ai quitté vos fêtes. Mon esprit, à demi-voix, Hors de tout ce que vous faites, Est appelé par les bois. J’irai, loin des murs de marbre,
J’aime Chelles et ses cressonnièr… Et le doux tic-tac des moulins Et des coeurs, autour des meunière… Quant aux blancs meuniers, je les… Les meunières aussi sont blanches…
Seigneur, j’ai médité dans les heu… Et je me suis assis, pensif comme… Sur les sommets déserts, dans les… Où l’homme ne vient pas, où l’on v… J’ai de l’oiseau sinistre écouté l…
Elle était pâle, et pourtant rose, Petite avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Le soir, elle prenait ma Bible
Elle me dit : « Quelque chose Me tourmente. » Et j’aperçus Son cou de neige, et, dessus, Un petit insecte rose. J’aurais dû—mais, sage ou fou,
Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froi… Août contre septembre lutte ;
Un immense frisson émeut la plaine… C’est l’heure où Pythagore, Hésio… Songeaient ; c’est l’heure où, las… Contemplé l’azur sombre et l’étoil… Pleins d’horreur, s’endormaient le…
Laissons le glaive à Rome et le s… Ne faisons pas saisir, trop pressé… Par le spectre Brutus le brigand… Gardons ce misérable au sinistre a… Vous serez satisfaits, je vous le…