Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Maintenant que Paris, ses pavés e… Et sa brume et ses toits sont bien… Maintenant que je suis sous les br… Et que je puis songer à la beauté… Maintenant que du deuil qui m’a fa…
¡ Oh ! votre oeil est timide et vo… Mais quoique, par pudeur ou par pi… Vous teniez secrète votre âme, Quand du souffle d’en haut votre c… Votre coeur, comme un feu sous la…
Hymne aux morts de juillet.… Ceux qui pieusement sont morts pou… Ont droit qu’à leur cercueil la fo… Entre les plus beaux noms leur nom… Toute gloire près d’eux passe et t…
IL semblait grelotter, car la bis… C’était, sous un amas de rameaux s… Une pauvre statue, au dos noir, au… Un vieux faune isolé dans le vieux… Qui, de son front penché touchant…
Il n’avait pas vingt ans. Il avai… De tout ce qui peut être aimé, sou… Il avait tout terni sous ses mains… Les blêmes voluptés sur sa trace a… Sortaient, pour l’appeler, de leur…
C’était en juin, j’étais à Bruxel… Savez-vous ce que fait maintenant… Et l’on me raconta le meurtre juri… Charlet assassiné sur la place pub… Cirasse, Cuisinier, tous ces info…
Oh ! Paris est la cité mère ! Paris est le lieu solennel Où le tourbillon éphémère Tourne sur un centre éternel ! Paris ! feu sombre ou pure étoile…
Quand tu me parles de gloire, Je souris amèrement. Cette voix que tu veux croire, Moi, je sais bien qu’elle ment. La gloire est vite abattue ;
Une querelle. Pourquoi ? Mon Dieu, parce qu’on s’adore. À peine s’est-on dit Toi Que Vous se hâte d’éclore. Le coeur tire sur son noeud ;
Courtisans ! attablés dans la sple… La bouche par le rire et la soif é… Vous célébrez César, très bon, tr… Vous buvez, apostats à tout ce qu’… Le chypre à pleine coupe et la hon…
Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…
C’est l’être extrême. Dieu, c’est le jour sans borne et… Lui, l’incommensurable, il n’a poi… Il ne se venge pas, il ne pardonne… Son baiser éternel ignore la morsu…
Il est des jours abjects où, sédui… Sans honneur, Les peuples au succès se livrent,… Du bonheur. Alors des nations, que berce un fa…
Un jour, maigre et sentant un roya… Un singe d’une peau de tigre se vê… Le tigre avait été méchant ; lui,… Il avait endossé le droit d’être f… Il se mit à grincer des dents, cri…
Chanson. Pour les bannis opiniâtres, La France est loin, la tombe est… Prince, préside aux jeux folâtres, Chasse aux femmes dans les théâtre…