Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Mères en deuil, vos cris là-haut s… Dieu, qui tient dans sa main tous… Parfois au même nid rend la même c… O mères ! le berceau communique à… L’éternité contient plus d’un divi…
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…
Qu’il erre sans repos, courbé dès… En des sables sans borne où le sol… Sitôt qu’il aura lui ! Comme un noir meurtrier qui fuit d… S’il marche, que sans cesse il ent…
L’amour, panique De la raison, Se communique Par le frisson. Laissez-moi dire,
Elle fait au milieu du jour son pe… Car l’enfant a besoin du rêve plus… Cette terre est si laide alors qu’… L’enfant cherche à revoir Chérubi… Ses camarades, Puck, Titania, les…
Jouissez du repos que vous donne l… Vous étiez autrefois des coeurs tr… Qu’un vain songe poursuit ; L’erreur vous tourmentait, ou la h… Vos bouches, d’où sortait la vapeu…
Don Rodrigue est à la chasse. Sans épée et sans cuirasse, Un jour d’été, vers midi, Sous la feuillée et sur l’herbe Il s’assied, l’homme superbe,
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
Tout est pris d’un frisson subit. L’hiver s’enfuit et se dérobe. L’année ôte son vieil habit ; La terre met sa belle robe. Tout est nouveau, tout est debout…
Ne me plains pas, me dit l’arbre, Autrefois, autour de moi, C’est vrai, tout était de marbre, Le palais comme le roi. Je voyais la splendeur fière
Victoire ! il était temps, prince,… Les filles d’opéra manquaient de p… Les révolutions apportent de l’enn… Aux Jeannetons d’hier, Pamélas d’… Dans don Juan qui s’effraie un Ha…
Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
Jeune homme ! je te plains ; et ce… Ton grand parc enchanté qui semble… Qui fait, vu de ton seuil, le tour… Grave ou joyeux suivant le jour et… Coupé d’herbe et d’eau vive, et re…
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
Ô femmes ! chastetés augustes ! fi… Pudeur, crainte sacrée entre toute… Farouche austérité du front pensif… Ô vous à qui je veux ne parler qu’… Dont la forme est si noble en notr…