Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
À genoux, à genoux, à genoux sur l… Où ton père a son père, où ta mère… Où tout ce qui vécut dort d’un som… Abîme où la poussière est mêlée au… Où sous son père encore on retrouv…
Ô grande nation, vous avez à cette… Tandis qu’en bas dans l’ombre on s… Un empire qui fait sonner ses étri… Les éblouissements des panaches gu… Une cour où pourrait trôner le roi…
Un jour Ali passait : les têtes l… Se courbaient au niveau des pieds… Tout le peuple disait : Allah ! Un derviche soudain, cassé par l’â… Fendit la foule, prit son cheval p…
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…
L’espace est noir, l’onde est somb… Là-bas, sur le gouffre obscur, Brillent le phare dans l’ombre Et l’étoile dans l’azur. La nuit pose, pour la voile
Toi ! sois bénie à jamais ! Ève qu’aucun fruit ne tente Il ! Qui de la vertu contente Habite les purs sommets ! Âme sans tache et sans rides,
Comme une aumône, enfant, donne do… À ton père, à ta mère, aux pères d… Donne au riche à qui Dieu refuse… Donne au pauvre, à la veuve, au cr… Fais en priant le tour des misères…
J’aime les soirs sereins et beaux,… Soit qu’ils dorent le front des an… Ensevelis dans les feuillages ; Soit que la brume au loin s’allong… Soit que mille rayons brisent dans…
Ô femme, pensée aimante Et coeur souffrant, Vous trouvez la fleur charmante Et l’oiseau grand ; Vous enviez la pelouse
Ce petit bonhomme bleu Qu’un souffle apporte et remporte, Qui, dès que tu dors un peu, Gratte de l’ongle à ta porte, C’est mon rêve. Plein d’effroi,
Les turcs ont passé là. Tout est… Chio, l’île des vins, n’est plus q… Chio, qu’ombrageaient les charmill… Chio, qui dans les flots reflétait… Ses coteaux, ses palais, et le soi…
Sara, belle d’indolence, Se balance Dans un hamac, au-dessus Du bassin d’une fontaine Toute pleine
Ainsi les plus abjects, les plus v… Vont régner ! ce n’était pas assez… Qui de leur sceptre d’or insultent… Et sont rois et méchants par la gr… Quoi ! tel gueux qui, pourvu d’un…
Et Jeanne à Mariette a dit :—Je… Qu’en répondant : c’est moi, papa… Je n’ai pas peur de lui puisqu’il… Vois-tu, papa n’a pas le temps d’ê… Il n’est jamais beaucoup fâché, pa…
Sur des livres où rien n’était écr… Quatre hommes méditaient quand mou… Tournés au nord, au sud, au coucha… Ces hommes se nommaient Luc, Jean… Pendant que sur leur noir registre