Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Ô cadavres, parlez ! quels sont vo… Quelles mains ont plongé ces style… Toi d’abord, que je vois dans cett… Ton nom ?—Religion.—Ton meurtrier… —Vous, vos noms ?—Probité, pudeur…
On a cru devoir réimprimer cette o… en juin 1826, à l’époque du désast… en la lisant, que tous les journau… tué dans son brûlot par une bombe… Depuis, cette nouvelle fatale a ét…
Ainsi l’hôtel de ville illumine so… Le prince et les flambeaux, tout y… Ce soir va resplendir sur ce combl… Comme l’idée au front du poète sac… Mais cette fête, amis, n’est pas u…
II. Ma fille, va prier !– D’abord, su… Qui berça tant de nuits ta couche… Pour celle qui te prit jeune âme d… Et qui te mit au monde, et depuis,…
Viens, ô toi que j’adore, Ton pas est plus joyeux Que le vent des cieux ; Viens, les yeux de l’aurore Sont divins, mais tes yeux
Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…
Sur des livres où rien n’était écr… Quatre hommes méditaient quand mou… Tournés au nord, au sud, au coucha… Ces hommes se nommaient Luc, Jean… Pendant que sur leur noir registre
Trois chevaux, qu’on avait attaché… Causaient. L’un, coureur leste à la croupe de… Valait cent mille francs, était va… Et, tout harnaché d’or, s’écriait…
« Qui de nous, en posant une urne… N’a trouvé quelque ami pleurant su… Autour du froid tombeau d’une épou… Qui de nous n’a mené le deuil ? » —Ainsi sur les malheurs de la Fra…
Je sais bien qu’il est d’usage D’aller en tous lieux criant Que l’homme est d’autant plus sage Qu’il rêve plus de néant ; D’applaudir la grandeur noire,
Ainsi, quand Mazeppa, qui rugit e… A vu ses bras, ses pieds, ses flan… Tous ses membres liés Sur un fougueux cheval, nourri d’h… Qui fume, et fait jaillir le feu d…
Le matin– En dormant. J’entends des voix. Lueurs à trav… Une cloche est en branle à l’églis… Cris des baigneurs. Plus près ! p… Non, par là ! Les oiseaux gazouil…
Chacun choisit un homme, et moi j’… Oui, j’ai, pour l’expliquer à la f… Pris le plus grand poème et le plu… Je ne lis pas du grec ni du latin… Les horizons brumeux, les soirs do…
Prions ! voici l’ombre sereine. Vers toi, grand Dieu, nos yeux et… Ceux qui t’offrent ici leurs larme… Sont les plus douloureux parmi les… Ils ont le plus d’honneur ayant le…