Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Elle me dit : « Quelque chose Me tourmente. » Et j’aperçus Son cou de neige, et, dessus, Un petit insecte rose. J’aurais dû—mais, sage ou fou,
Après avoir donné son aumône au pl… Pensif, il s’arrêta pour les voir.… Avait maigri leur joue, avait flét… Ils s’étaient tous les quatre à te… Puis, s’étant partagé, comme ferai…
Nous étions, elle et moi, dans cet… De l’amour qui commence en éblouis… Ô souvenirs ! ô temps ! heures éva… Nous allions, le coeur plein d’ext… Ensemble dans les bois, et la main…
J’aime les soirs sereins et beaux,… Soit qu’ils dorent le front des an… Ensevelis dans les feuillages ; Soit que la brume au loin s’allong… Soit que mille rayons brisent dans…
VIII. Voilà ce qu’on a vu ! l’histoire l… Et lorsqu’elle a fini pleure, roug… Quand se réveillera la grande nati… Quand viendra le moment de l’expia…
À mademoiselle Louise B. De nos jours,—plaignez-nous, vous,… L’intérieur de l’homme offre un so… Un serpent est visible en la sourc… Et l’incrédulité rampe au fond de…
Ô cadavres, parlez ! quels sont vo… Quelles mains ont plongé ces style… Toi d’abord, que je vois dans cett… Ton nom ?—Religion.—Ton meurtrier… —Vous, vos noms ?—Probité, pudeur…
Tu peux, comme il te plaît, me fai… Comme le soleil fait serein ou plu… L’azur dont il est l’âme et que sa… Tu peux m’emplir de brume ou m’ino… Du haut de ta splendeur, si pure q…
MINUIT. Le frêle esquif sur la mer sombre Sombre ; La foudre perce d’un éclair L’air.
On a cru devoir réimprimer cette o… en juin 1826, à l’époque du désast… en la lisant, que tous les journau… tué dans son brûlot par une bombe… Depuis, cette nouvelle fatale a ét…
J’étais seul près des flots, par u… Pas un nuage aux cieux, sur les me… Mes yeux plongeaient plus loin que… Et les bois, et les monts, et tout… Semblaient interroger dans un conf…
Puisque j’ai mis ma lèvre à ta cou… Puisque j’ai dans tes mains posé m… Puisque j’ai respiré parfois la do… De ton âme, parfum dans l’ombre en… Puisqu’il me fut donné de t’entend…
En ce temps-là, du ciel les portes… Du Saint des Saints ému les feux… Tous les cieux un moment brillèren… Et les élus voyaient, lumineuses p… Venir une jeune âme entre de jeune…
Oh ! les charmants oiseaux joyeux… Comme ils maraudent ! comme ils pi… Où va ce tas de petits gueux Que tous les souffles éparpillent… Ils s’en vont au clair firmament ;
L’art, c’est la gloire et la joie. Dans la tempête il flamboie ; Il éclaire le ciel bleu. L’art, splendeur universelle, Au front du peuple étincelle,