Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
Le Progrès calme et fort, et touj… Ne sait pas ce que c’est que de ve… Il règne, conquérant désarmé ; quo… De la hache et du glaive il détour… Car le doigt éternel écrit dans le…
Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…
Oh ! de mon ardente fièvre Un baiser peut me guérir. Laisse ma lèvre à ta lèvre S’attacher pour y mourir. Ta bouche, c’est le ciel même.
Oui. Je comprends qu’on aille aux… Qu’on soit foule, qu’on brille aux… Qu’on fasse, amis, ce que vous fai… Et qu’on trouve cela joyeux ; Mais vivre seul sous les étoiles,
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Les mères ont senti tressaillir le… Les lourds caissons chargés de boî… Courent, et l’on dirait qu’ils bon… Le peuple de Paris, pensif, les s… Et s’en va par les quais vers les…
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbé… Berceuse du chaos où le néant osci… Guerre, ô guerre occupée au choc d… Toute pleine du bruit furieux des… Ô buveuse de sang, qui, farouche,…
Oh ! laissez-moi ! c’est l’heure o… Cache un front inégal sous un cerc… L’heure où l’astre géant rougit et… Le grand bois jaunissant dore seul… On dirait qu’en ces jours où l’aut…
II. Le poète s’en va dans les champs ;… Il adore ; il écoute en lui-même u… Et le voyant venir, les fleurs, to… Celles qui des rubis font pâlir le…
Les quatre enfants pleuraient et l… Tout dans ce lieu lugubre effrayai… Sur le grabat gisait le cadavre ha… C’était déjà la tombe et déjà le f… Pas de feu ; le plafond laissait p…
Amis, mes deux amis, mon peintre,… Vous me manquez toujours, et mon â… Vous redemande ici. Des deux amis, si chers à ma lyre… Pas un ne m’est resté. Je t’en ve…
J’atteignais l’âge austère où l’on… Où l’on cherche, enivré d’on ne sa… Afin de pouvoir dire éperdument J… Quelqu’un. J’entrais dans ma treizième année.…
L’été, lorsque le jour a fui, de f… La plaine verse au loin un parfum… Les yeux fermés, l’oreille aux rum… On ne dort qu’à demi d’un sommeil… Les astres sont plus purs, l’ombre…
La satire à présent, chant où se m… Bouche de fer d’où sort un sanglot… N’est plus ce qu’elle était jadis… Quand on nous conduisait, écoliers… À la Sorbonne, endroit revêche et…
Vous eûtes donc hier un an, ma bie… Contente, vous jasez, comme, sous… Au fond du nid plus tiède ouvrant… Les oiseaux nouveau-nés gazouillen… De sentir qu’il commence à leur po…