Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
C’est l’hiver. Ô villes folles, Dansez ! Dans le bal béant Tourbillonnent les paroles De la joie et du néant. L’homme flotte dans la voie
Elle prend un miroir, s’y regarde,… Son flambeau, et tombe à genoux au… Oh ! je suis monstrueuse et les au… Cette bosse ! ô mon Dieu !... Elle cache son visage dans ses mai…
III. Les clochettes sonnaient la messe. Tout ce petit temple béni Faisait à l’âme une promesse Que garantissait l’infini.
Pendant que la mer gronde et que l… Et que sur l’horizon les tumultes… Ce veilleur, le poète, est monté s… Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la c… Jadis, dans les temps noirs comme…
Il faut que le poète, épris d’ombr… Esprit doux et splendide, au rayon… Qui marche devant tous, éclairant… Chanteur mystérieux qu’en tressail… Les femmes, les songeurs, les sage…
C’est à coups de canon qu’on rend… Nous sommes revenus de tous ces gr… —Progrès, fraternité, mission de l… Droits de l’homme, raison, liberté… Socrate est fou ; lisez Lélut qui…
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Voici le trou, voici l’échelle. D… Tandis qu’au corps de garde en fac… En riant sous le nez des matrones… Laissez le crieur rauque, assourdi… Proclamer le numide ou le dace aux…
La chose fut exquise et fort bien… C’était au mois d’avril, et dans u… Si douce, qu’on eût dit qu’amour l… Thérèse la duchesse à qui je donne… Si j’étais roi, Paris, si j’étais…
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
Etait-ce un rêve ? étais-je éveill… Un homme,—était-il grec, juif, chi… Un membre du parti de l’ordre, vér… Et grave, me disait : « Cette mor… Frappant ce charlatan, anarchiste…
N’attendez pas de moi que je vais… Des raisons contre Dieu que je vo… La nuit meurt, l’hiver fuit ; main… Dans les champs, dans les bois, es… Je suis par le printemps vaguement…
Voici juin. Le moineau raille Dans les champs les amoureux ; Le rossignol de muraille Chante dans son nid pierreux. Les herbes et les branchages,
II. Le jour s’enfuit des cieux ; sous… De moments en moments se hasarde u… La nuit, pas à pas, monte au trône… Un coin du ciel est brun, l’autre…
Il lui disait : – Vos chants sont… Ange inquiet, quels pleurs mouille… Pourquoi, pauvre âme tendre, incli… Comme un jonc que le vent a ployé… Pencher votre beau front assombri…