#ÉcrivainsFrançais
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
La salamandre surprise s’immobilis… Et feint la mort. Tel est le premier pas de la consc… Le mythe le plus pur. Un grand leu traversé, qui est esp…
L’aube passe le seuil, le vent s’e… Le feu s’est retiré dans la laure… Terre des bouches froides, ô crian… Le plus vieux deuil par tes secrèt… L’aube va refleurir sur tes yeux d…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
Secouant ta chevelure ou cendre de Phénix, Quel geste tentes-tu quand tout s’… Et quand minuit dans l’être illumi… Quel signe gardes-tu sur tes lèvre…
L’étoile sur le seuil. Le vent, tenu Dans des mains immobiles. La parole et le vent furent de lon… Et puis ce fut d’un coup ce silenc…
Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue
Longues, longues journées. Le sang inapaise heurte le sang. Le nageur est aveugle. 11 descend par étages pourpres dan… Quand la nuque se tend
Vous qui vous êtes effacés sur son… Qui avez refermé sur elle vos chem… Impassibles garants que Douve même morte Sera lumière encore n’étant rien.
Phénix parlant au feu, qui est des… Et paysage clair jetant ses ombres… Je suis celui que tu attends, dit-… Je viens me perdre en ton grave pa… Il regarde le feu.
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
Le jour se penche sur le fleuve du… Il cherche à ressaisir Les armes tôt perdues, Les joyaux de la mon enfaniine pro… Il n’ose pas savoir
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau